Résiliation de contrat : ce qui change pour les travailleurs migrants

Un préavis écrit d’au moins 20 jours ouvrables doit désormais être adressé au Secrétaire permanent du ministère du Travail par tout employeur souhaitant mettre fin à l’emploi d’un travailleur migrant. À défaut, cela constitue une violation de la loi.

 

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Cette exigence est stipulée par la Worker’s Rights Act, telle qu’amendée dans le Finance Act 2024.

Les employeurs sont donc tenus de notifier le ministère de cette résiliation et du rapatriement, en fournissant des détails sur les raisons de cette décision. Une vérification sera ensuite effectuée par la Division du développement et de la formation des ressources humaines (HRDT) du ministère.

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