LE BONHEUR: La quête ne finit-elle jamais ?

On parle bien plus souvent de son ténébreux alter ego, Le Malheur. Et Le Bonheur, il est où ? Aux Champs-Elysées, au Paradis, en Utopie ? Ou est-ce au Bhoutan, pays du bonheur national brut ? La quête ultime du bonheur a animé et animent toujours nombre de philosophes et de théologiens, de poètes et d’écrivains, de peintres et de musiciens, de penseurs et de politiques qui l’ont cherché et le cherchent ici-bas ou dans l’au-delà… A l’heure où la drogue — paradis artificiels, bonheur halluciné pour certains artistes et les toxicomanes — frappe de malheurs des milliers de familles à Maurice et où des attentats terroristes en Europe tuent des innocents, peut-on encore parler du bonheur ? Oserait-on, une fois n’est pas coutume, aborder «cette idée neuve» dans nos colonnes ? Joseph Cardella et Sylvestre Le Bon nous en donnent une esquisse. Deux points de vue, l’un philosophique, l’autre littéraire, en attendant le 1er Colloque sur La Psychologie positive à Maurice qui se tiendra les 10 et 11 avril à l’Institut Cardinal Jean Margéot.

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