ÉCURIE CHAMPIONNE : Foo Kune, un premier et puis s’en va ?

Un titre de champion après quatre années d’existence seulement. Cela doit être considéré comme un exploit. Mais, l’avenir de l’écurie Foo Kune n’a pas encore été déterminé. Quoi qu’il en soit — qu’elle soit toujours là ou qu’elle soit dans l’obligation de partir — l’histoire retiendra le nom de cet établissement qui a, d’une façon ou d’une autre, fait la une de l’actualité, de par son Stable Manager qui a souvent été pointé du doigt.
L’écurie Foo Kune a vu le jour en 2011 dans les circonstances que l’on connaît alors qu’elle s’apprêtait à prêter main forte à l’ancien établissement Ramdour. Au fait, il avait été dit qu’aucune écurie ne verrait le jour si le Stable Manager n’était pas aussi l’entraîneur.
Après des débuts à tâtons avec Bertrand de Coriolis à la manoeuvre, 2011 fut marquée par la présence de plusieurs nouvelles unités qui avaient d’abord à s’acclimater avec leur nouvel environnement. On dira que ce baptême du feu connut plus de succès vers la fin de la saison.
On s’attendait que 2012 soit plus prolifique. Si elle le fut en termes de victoires qui se chiffrèrent à 25, il faut néanmoins souligner qu’un «nouveau capitaine» fit son apparition en cours de saison pour prendre la relève au niveau de l’entraînement. La fin de 2012 fut meilleure que le début de saison.
Avec les «vieux soldats» qui avaient pris leur retraite et l’injection du sang nouveau, il va sans dire que 2013 fut l’occasion de se faire remarquer. Le bilan fut bien plus flatteur avec 55 victoires et une troisième place au classement.
Maintenant que les nouveaux des dernières saisons furent bien affûtés et, avec l’aide des nouvelles acquisitions, il était dit que 2014 allait être la saison de l’écurie Foo Kune qui dispose d’énormes moyens pour brasser large.
Il lui sera sans doute difficile de faire mieux qu’en 2013 en termes de succès, mais elle a enfin pu accrocher sa première victoire classique, la Coupe d’or, grâce à Love Struck qu’on attendait surtout dans la Duchesse.
Pour sa part, Budeshwar Gujadhur, qui a déjà obtenu le titre de meilleur entraîneur, aura eu le mérite d’avoir pu mener un établissement vers le sacre.

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