Finale Miss Eco International – Amber Korimdun: « Ma priorité, un projet d’eau potable dans des écoles »

Amber Korimdun

Elles étaient dix finalistes mais au final, la couronne  est revenue à Amber Korimdun (24 ans) qui a su se démarquer lors des questions-réponses. Amber Korimdun, de Terre Rouge, exerce le métier d’enseignante à la Northfield International High School à Mapou. Son ambition : lancer un projet d’eau potable dans des écoles et sensibiliser à la protection de l’environnement. La finale de Miss Eco International a eu lieu samedi à l’auditorium Jin Fei, Terre-Rouge.

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On s’attendait à un événement haut en couleur, mais l’équipe organisatrice de Miss Eco International Maurice & Rodrigues 2019 a choisi de capitaliser sur la sobriété. Entre décomptes, défilés et présentations, l’accent a été mis sur les candidates. Des Miss défilant dans leurs longues robes de soirée, prenant la pause devant l’objectif et surtout essayant de défendre cette noble cause consistant à protéger l’environnement.

Cinq postulantes ont su, dans un premier temps, faire la différence auprès du jury avant qu’Ornella Laflèche (20 ans) remporte le titre de première dauphine et Melody Rasalam, 25 ans, celui de la 2e dauphine. Melody s’est également démarquée en remportant le titre de Miss Talent alors que Tatiana Beauharnais, originaire de Britannia, avait décroché le titre de Miss Sport. Quant à Amber Korimdun, elle représentera Maurice en Égypte lors de la grande finale réunissant tous les pays du monde. Miss Eco international est un concours de beauté initié par Let’s Take Care of the Planet, projet de l’ONU (LTCPUN), Beauty for Eco.

La compétition de Miss Eco repose sur des critères spécifiques et vise à mettre en exergue leurs aptitudes artistiques et intellectuelles. Amber Korimdun, la grande gagnante, elle qui n’hésite pas à faire l’ascension du Morne et se décrit comme quelqu’une qui aime les randonnées, dira: «La raison pour laquelle j’ai participé à Miss Eco est qu’il met en avant non seulement le beauty pageant mais aussi la cause environnementale. C’est une compétition qui me permet aussi d’avoir une plateforme pour défendre les idées écologiques. J’ai plusieurs projets ayant trait à l’environnement dont de l’eau potable dans les écoles.  J’ai aussi beaucoup discuté avec la propriétaire du Haras du monde, un centre équestre. Je veux mettre en place des Eco-Clubs dans les écoles de ma localité.  Je félicite les autres candidates qui n’ont pas démérité dont Ornella, la première dauphine pour sa belle performance. »

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