INSTITUT DE BEAUTÉ : « Mari’Elle » pour une pause beauté et d’évasion

C’est à Curepipe, rue Pope-Hennessy, à l’étage d’un petit bâtiment commercial que Véronique Rivet a installé son institut de beauté portant son premier prénom : Mari’Elle (Marielle). L’institut, flambant neuf, est l’aboutissement d’un rêve pour celle qui a durant une dizaine d’années exercé dans le marketing. On y trouve tous les éléments essentiels à l’univers de la beauté et la jeune femme, soucieuse du confort de sa clientèle, a participé à l’aménagement et à la décoration de son salon. Lampes orientales, mobilier contemporain et lumineux, intérieur cosy et chic, ambiance feutrée…Véronique Rivet a tout imaginé pour que son institut invite à s’y sentir bien.
Ce jour-là, de beaux sourires éclairent l’institut de beauté qui ouvre officiellement ses portes. Teint irréprochable, cheveux impeccables, silhouette cintrée dans une robe noire, Véronique Rivet arrive perchée sur des talons rouges pour accueillir ses hôtes. « En ouvrant ce salon, j’ai réalisé mon rêve », nous dit la jeune femme, les yeux pétillants de bonheur. Pour l’occasion, elle a convié quelques personnes, dont la formatrice de l’Académie L’Oréal, Véronique Lemessier, pour coiffer la gagnante d’un concours qu’elle a organisé dans le cadre de la fête des Mères via les réseaux sociaux, et la récompenser par de nombreux cadeaux.
En attendant de fêter l’événement avec ses convives, elle nous parle de son parcours, fait l’éloge de son staff composé de quatre jeunes femmes, nous montre son vernis acrylique, couleur métallique. « C’est le tout nouveau mirror dust », dit-elle.
Véritable passionnée de la beauté, Véronique a renoncé à son emploi « dans le marketing », pour parcourir l’Europe à la recherche de nouvelles tendances en cosmétiques et soins et se perfectionner dans l’esthétique et la coiffure. « Plus jeune, j’avais reçu une formation en esthétique. C’était mon rêve d’avoir mon propre salon. Voilà pourquoi, aujourd’hui, je reviens à mes premières amours, l’esthétique », dit-elle.
Mais la Curepipienne n’est pas seulement douée dans ce domaine. Elle a aussi des talents de créatrice. Car derrière la vitrine dont le design a été imaginé par un élève de l’institut supérieur Charles Telfair, le salon Mari’Elle est un petit endroit cosy qu’elle a conçu avec goût. « J’ai tout imaginé, la couleur des murs, les objets déco. J’ai consacré beaucoup de temps à l’aménagement et la décoration de mon institut », dit-elle. Dans ce local neuf, d’une surface de 1300 pieds2, ce petit cocon à l’ambiance intimiste et à la décoration contemporaine accueille le client dans une ambiance épurée, chic, urbaine et ultra moderne.
Il y a deux cabines de soins, mais c’est d’abord l’espace dédié à la coiffure qui attire le regard. Une coiffeuse est au shampoing, une autre à la pédicure. L’ambiance y est détendue. Les coiffeuses, as de la coupe sur mesure, s’occupent de Devi Moteea, la gagnante du concours avant que Véronique Lemessier, formatrice de L’Oréal, ne manie les pigments avec élégance. « La formatrice est venue nous présenter un des tout nouveaux produits, le smartbond, qui permet de protéger les cheveux pendant une coloration », nous dit Véronique Rivet. « La gagnante a remporté des cadeaux d’une valeur de Rs 3500 ainsi qu’une coiffure. Pour lancer notre salon, on a voulu chouchouter une maman », ajoute-t-elle.
Dans cette ambiance cosy et intimiste, la propriétaire de Mari’Elle, secondée par sa petite équipe, reçoit sur rendez-vous, mais aussi à tout moment. Et pour combler toutes les envies, le menu propose coiffure, manucure, pédicure pour sublimer la femme tout en lui accordant une petite pause bien-être par des soins en cabine. L’institut dispose de deux cabines de soins où les employées, polyvalentes, dorlotent les clientes de leurs mains expertes. Baigné dans une lumière tamisée, l’espace cabine est dédiée aux soins du visage mais aussi aux enveloppements corporels, à base d’algues, de cranberges, à base de particules d’or et de champagne aussi. Les expertes utilisent aussi le savon noir pour enlever les peaux mortes. Le rhassoul, produit marocain à base d’argile rose et de géranium pour les soins du visage. Pour plonger ses clientes dans un univers oriental, Mari’Elle propose aussi le hammam. Afin de rendre la séance de soins particulièrement attractive pour ses clientes, elle leur propose des rituels venus du Maroc. « La Sultane de Saba est un produit noble. Parmi, la crème anti-âge aux particules d’or pour regénérer les cellules et illuminer l’éclat de la peau ».
L’invitation au voyage et à la beauté continue cette année. Véronique Rivet qui dispose plus d’espaces dans ce local, envisage d’accueillir d’autres soins venus d’Orient, notamment l’ayurveda et ses nombreux traitements comme le shirodhara.

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