JEAN-MARIE BIGARD, LE PARRAIN : “Je meurs si je ne ris pas”

30 ans après ses débuts Jean-Marie Bigard arrive encore à surprendre. Cette fois le macho bourru devient femme et expose les conditions liées à Nous les femmes. Ce dixième spectacle, l’humoriste français le considère comme son meilleur. Dans une conversation téléphonique avec Scope de France, il explique pourquoi et nous parle de la bonne formule pour faire rire et des interdits qu’il s’impose. Nous avons aussi parlé de son décolleté.
Nous l’avons complimenté sur ses nouveaux attributs. Jean-Marie et nous en avons bien ri au téléphone la semaine dernière. Faut dire qu’il y a du monde au balcon du côté de Bigard en ce moment. Des doudous bien ronds qui pointent leurs nez à travers le décolleté de sa longue robe noire. Sur l’affiche, il l’affiche sans complexe, et dans la conversation il le précise “pas de testostérone” sur la scène pour le mec réputé bourru cette fois. Mais des nibards gros comme ça pour faire le clown, mais aussi pour lui permettre de faire ce qui, a-t-il senti, lui était essentiel : “Demander pardon aux femmes !”

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