SALON DE L’ÉTUDIANT DE L’OVEC : Premier contact avec les représentants universitaires

Le Salon de l’Étudiant de l’Overseas Education Centre s’est tenu durant le week-end au Flying Dodo à Bagatelle. Cette plateforme, comme chaque année, a permis à ces jeunes, qui viennent de terminer le HSC et qui se posent des questions sur leur avenir, de rencontrer les représentants des établissements d’enseignement supérieur en vue d’obtenir des informations précises sur les programmes, les conditions d’admission, les cursus, les diplômes proposés ou encore les débouchés. Plus d’une vingtaine de représentants universitaires, venus du monde entier, étaient présents à cette occasion. Au Mauricien, le Dr Dorish Chitson, la directrice de l’OVEC, explique que « ce salon permet aux jeunes d’établir un premier contact avec les représentants et de prendre connaissance des opportunités de bourses ».
Outre le coût des études, les jeunes présents au salon de l’Overseas Education Centre (OVEC) voulaient connaître les possibilités d’emploi à l’international après leurs années d’université. L’on note que la possibilité de travailler à l’extérieur après des études tertiaires est un facteur qui pousse de plus en plus d’étudiants vers les destinations telles que le Canada, l’Australie et la Nouvelle-Zélande. Les possibilités de rester dans ces pays après les d’études, d’y travailler et d’y obtenir le resident permit par la suite attirent de plus en plus de jeunes qui craignent de ne pas obtenir un emploi à Maurice. Cet argument a été relevé au Salon de l’Étudiant par les jeunes rencontrés, qui soutiennent qu’outre le coût les cours, la garantie de trouver un emploi après ses études est primordial. D’où, l’intérêt grandissant, disent-ils, de poursuivre leurs études et carrières à l’étranger.
Ainsi, l’OVEC, qui compte bientôt 15 ans d’expérience dans le “counselling” des jeunes, a réuni sous une seule plate-forme les représentants d’universités internationale. Cela afin de permettre avant tout aux jeunes souhaitant poursuivre des études supérieures à l’étranger de mieux se renseigner. Durant ces deux jours, plus d’une vingtaine d’universités étrangères étaient présentes pour guider les jeunes dans leur choix d’études. Ces derniers ont eu l’occasion de se documenter et de rencontrer des responsables et des professeurs d’établissements de l’enseignement supérieur.
Cette manifestation a également été l’occasion pour ces aspirants universitaires de discuter, d’échanger et de partager leurs expériences afin de choisir une filière d’études. Ainsi, dans chaque stand, face aux représentants, les parents et les jeunes étaient tous intéressés à connaître les divers cours dispensés par ces universités et, surtout, leur coût. Des détails leur auront ainsi été donnés, notamment concernant les possibilités de bourses pour les étudiants internationaux.
Le Dr Dorish Chitson explique pour sa part que ce salon est important pour les parents car il les aide à mieux cerner les possibilities d’études pour les enfants et se préparer. Ils peuvent ainsi se rassurer auprès des représentants universitaires et nouer un premier contact. « Si ces jeunes ne trouvent rien qui leur convient au salon, ils peuvent toujours passer nous voir à notre bureau de Moka », souligne-t-elle.
Par ailleurs, certaines nouvelles institutions telle que la University of British Columbia au Canada, qui était au salon pour la première fois et chez qui les inscriptions sont déjà ouvertes, ont su se faire remarquer. Les autres institutions, qui sont toujours fidèles aux rendez-vous de l’OVEC, ont une fois de plus eu l’occasion de parler d’elles aux étudiants mauriciens. Les universités telles que l’université de Monash (Australie, Malaisie, Afrique du Sud et Chine), Curtin (Australie, Singapour et Malaisie), le Swiss Education Group qui comprend aussi le fameux César Ritz, l’Université de Newcastle, HELP Malaisie, la Xian Jiaotong Liverpool University et la Guelp University, étaient une fois de plus présentes. Ces institutions tertiaires s’accordent à « offrir un enseignement de qualité et à veiller à l’épanouissement intégral de l’étudiant ».
 

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