« Wi mo’nn vann ladrog, me aster mo’nn sanze »… confidences d’une détenue

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De 2008 à 2014, elle multiplie les va-et-vient en prison : « Je savais que je devais changer de vie, mais je n’y arrivais pas. » Yasmina (prénom fictif) se décrit volontiers comme « la maman » de celles, officiers et détenues, qui évoluent à l’Open Prison for Women (OPW)...

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