La campagne de dénigrement monte d’un ton. On avait déjà touché le fond, mais certains creusent encore. On ne change pas une formule qui fonctionne et qui a fait ses preuves depuis quatre décennies. Les vociférations iront crescendo jusqu’au jour où nous élirons un mec ou une nana censé(e) nous représenter.
- Publicité -