Baisé forcé : Je me suis senti vulnérable et victime d’une agression », dit Jenni Hermoso

La joueuse Jenni Hermoso, embrassée de force dimanche par le patron du foot espagnol lors du sacre de l’Espagne au Mondial féminin, a dit vendredi soir que ce baiser n’avait pas été consenti, contredisant la défense de Luis Rubiales.

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« Je veux être très claire: je n’ai à aucun moment consenti à ce baiser qu’il (Luis Rubiales) m’a donné et je n’ai en aucun cas cherché à m’approcher du président. Je ne tolère pas qu’on mette en doute ma parole et encore moins que l’on invente des propos que je n’ai pas dit », a expliqué la N.10 de la Roja féminine dans un communiqué diffusé sur X ( anciennement Twitter) par son syndicat Futpro.

Les 23 joueuses de l’équipe nationale d’Espagne, sacrée championne du monde dimanche en Australie, ont annoncé qu’elles refusaient de rejouer pour la sélection sous la direction actuelle de la fédération, menée par Luis Rubiales, au coeur de l’affaire du baiser forcé.

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« Après tout ce qui est arrivé lors de la remise des médailles du Mondial féminin, toutes les joueuses signataires du présent texte n’honoreront pas une prochaine convocation si les dirigeants actuels sont maintenus », ont écrit vendredi les championnes du monde dans un communiqué diffusé par le syndicat Futpro, qui défend notamment les intérêts de Jenni Hermoso, embrassée de force par le président de la fédération Luis Rubiales.

bur-ati-mig/fjb

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© Agence France-Presse

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