« Soit tu es avec nous, soit contre nous ». C’est le parallèle qui est dressé en haut lieu au sujet de l’enregistrement des cartes SIM. Cette démarche, qui est sous le coup d’une contestation légale, est interprétée par le Think Tank au sein du gouvernement comme un sondage de popularité de celui-ci.
L’on y voit un baromètre électoral dans la conjoncture, l‘exercice de réenregistrement permettant d’identifier les citoyens qui ne se sont pas encore conformés à cette obligation comme étant des « opposants au parti ». Parmi eux, les fonctionnaires et hauts cadres des corps para-étatiques sur qui la pression s’accentue de plus en plus. Les membres du Top Management des entotés publiques exhortent les cadres à se mettre à jour avec ce nouveau protocole afin de ne pas se retrouver dans les « mauvais carnets ».