Casinos : de bien louches disparitions…

Est-ce au “contracteur” à qui la tâche de collecter les déjections envahissantes des pigeons au casino de Currepipe que des objets d’une certaine valeur ont été remis, ou est-ce tout simplement un vol ? C’est la question que posent les employés de ce lieu après la disparition louche des colonnes en fer et des roulettes provenant du casino de Trou aux Biches.
Le plus surprenant pour eux c’est qu’il n’y a eu aucune explication sur cette disparition. La direction semble prendre tout cela à la légère. Et cela n’a fait que renforcer leur perception qu’il y aurait une magouille derrière tout cela et que les “pièces à convi ction” ont déjà trouvé le chemin d’une fonderie à qui les petits malins les auraient déjà vendus.
C’est probablement une nouvelle version de la gestion moderne de Renganaden Padayachy, le ministre de tutelle de la State Investment Corporation et des casinos.
Ces mêmes items de grande valeur ont pris le chemin des excréments car un petit malin aurait fait main basse sur ces objets de grande valeur.
L’apathie et le laisser-aller de la direction laisse le temps à certaine fonderie de faire fondre les pièces à conviction.
Aucune enquête n’a été enclenchée. Peut-être que certains agents y seraient impliqués.
Le département de la surveillance reste muette. Même démarche que pour les deux grands sofas pur teck volés du salon du Domaine Les Pailles, quelques années de cela…

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