C’est par inadvertance qu’il aurait pris un mandat d’arrêt avant de le ramener à son domicile, plaide le constable Indiren Nawzadick, arrêté le 9 juin pour le délit d’infraction à l’Official Secret Act.
En effet, suite à une perquisition de son domicile à Vacoas par la Special Striking Team, un mandat de perquisition vierge a été retrouvée sur place. Des échanges sur Whatsapp avec Vimen Sabapati sont également reprochés au constable.
Des messages dans lesquels, il faisait part des « transfers orders » de la police à Vimen Sabapati. Documents censés être strictement garder au poste de police.
Confronté aux échanges avec Vimen Sabapati lors de son interrogatoire par la Special Support Unit, Indiren Nawzadick a fait valoir son droit au silence.
Les débats entourant la remise en liberté conditionnelle du constable Nawzadick débuteront demain en cour de Curepipe.
Contacté par la rédaction, Me Ravi Rutnah, l’homme de loi du constable, explique que son client nie les faits qui lui sont reprochés.