Législatives 2019 : Sherrygate, une bombe à retardement

Le scandale de la vente des câbles en cuivre de Mauritius Telecom, désormais connu comme le Sherrygate, est en fait une bombe à retardement.

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Le Mauricien faisait mention dans son édition du 4 mai 2018 d’une plainte de Raj Raghoonath concernant la vente de câbles de cuivre usagés par Mauritius Telecom, et dont les procédures n’avaient pas été respectées.

À l’époque, personne n’avait réagi à la démarche de l’ancien président de la Mauritius Telecom Employees Association (MTEA). Il aura fallu attendre la période des élections pour que, subitement, cette information devienne virale sur les réseaux sociaux.

Entre-temps, Raj Raghoonath a été éjecté de la MTEA et suspendu de Mauritius Telecom…

La compagnie lui réclame également la somme de Rs 176 067 pour ses factures de téléphone mobile pour les mois de janvier à mars 2019.

MT a expliqué qu’il avait utilisé son “mobile data” alors qu’il était à l’étranger. Quant aux allégations, la direction de la compagnie les avait qualifiées de « fausses, malicieuses et sans fondement ».

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