MMM : « Le gouvernement ne doit pas laisser le projet Uber entre les mains d’Anil Gayan » selon Bérenger

« Pravind ek so mentor p touy sa pays la an seki konsern ladrog. » Ce sont les propos du leader des mauves, Paul Bérenger, face à la presse ce samedi 6 octobre au Hennessy Park Hotel. Il s’est  s’exprimé sur plusieurs points d’actualité.

- Publicité -

Il est d’avis que la situation empire dans le pays, surtout en ce qui concerne la drogue chez les jeunes et dans les écoles. « C’est révoltant ! Il n’y a pas le follow-up nécessaire », a-til lancé. Il est revenu sur la commission Lam Shan Leen qui selon lui coûtera à l’état plus de Rs 30 millions et parmi, plus de Rs 17 millions seulement pour l’ancien juge. « Il y a eu un comité et Task Force mais pas de follow up ». Dans le même chapitre, il est revenu sur l’affaire Lutchigadoo, avec selon lui « la drogue remplacée » et le cas rayé en cour. Il déplore le travail de l’ADSU et de la police de Maurice dans toute cette affaire.

Uber, un point d’actualité qui cause de nombreux remous actuellement, a aussi été abordé. « Le concept ne pourra pas être appliqué à Maurice, car ici, nous avons tout un système et procédure avant l’obtention du permis d’opérer comme taxi et plus nous augmentons les taxis et moins les taxis existant pourra survivre », a-t-il fait ressortir. Toutefois, il a ajouté « La NTA informe que Uber demande un service de reservation de taxis en ligne, mais s’agit-il de taxis existants ? », s’interroge-t-il. Il demande à la NTA de rendre publique la correspondance envoyée par Uber.  De plus, selon le leader du MMM, le gouvernement ne doit pas laisser ce projet entre les mains d’Anil Gayan, ministre du Tourisme et « Nando Bodha se doit d’assumer ses responsabilités ». 

Revenant sur la déclaration du ministre de la pêche, Prem Koonjoo qui a déclaré face à la presse qu’il n’y a pas de baleines dans nos eaux, Paul Bérenger n’a pas mâché ses mots, « C’est ridicule. J’ai vu des baleines sur la côte ouest et à Roche-Noire », a-t-il déclaré. « Ils ne sont même pas capable de faire la différence entre les types de pêches. La situation actuelle est effayante », a-t-il ajouté, « Prem Koonjoo mem pa kone kot latet ou lake poisson ».

- Publicité -
EN CONTINU

l'édition du jour

- Publicité -