Paul Bérenger : « A partir du 1er octobre, nou pou mars lor dife »

« A partir du 1er octobre, nou pou mars lor dife », a déclaré le leader du MMM, Paul Bérenger, en vue de l’ouverture complète des frontières, prévue le 1er octobre.

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En conférence de presse ce samedi 21 août au Sufren, Paul Bérenger a fait ressortir que, pour la première fois, le Premier ministre, lors d’une fonction à Nouvelle-Découverte, a affirmé que les frontières mauriciennes seront ouvertes « si tout se passe bien ».

En ce sens, l’Alliance de l’Espoir réclame les élections municipales le plus tôt possible.

« De notre côté, nous nous préparons à participer aux élections municipales les quatre partis ensemble », a indiqué Paul Bérenger.

Paul Bérenger a estimé par ailleurs que si Maurice est sur la liste noire de l’Union européenne et la liste grise du Financial Action Task Force, « c’est par la faute du gouvernement actuel ».

« On n’a pas permis aux institutions présentes à Maurice de combattre le blanchiment d’argent et la corruption. De notre côté, nous ne ferons rien pour empêcher ou rendre plus difficile le retrait de Maurice de la liste noire de l’Union européenne et la liste grise du Financial Action Task Force. Malgré le dernier faux pas de nommer Navin Beekarry à la tête de l’ICAC », a déclaré Paul Bérenger.

Concernant la photo du leader du MSM, Pravind Jugnauth, aux côtés du leader du PTr, Navin Ramgoolam, prise lors d’un événement tout récemment, le leader du MMM est catégorique : l’idée d’un gouvernement composé de ces deux partis est inconcevable.

Sur la situation de la Covid à Maurice, le leader du Rassemblement Mauricien, Nando Bodha, est d’avis que le virus se trouve dans la communauté

« Le pays est dans une zone rouge. Le gouvernement ne dit pas la vérité et prend des décisions en catastrophe », a fait ressortir Nando Bodha.

Par ailleurs, ce dernier a indiqué être au courant qu’après sa démission du gouvernement, des dossiers du ministère des Infrastructures publiques (MPI) ont été envoyés à l’ICAC et à la CCID afin de ternir sa réputation.

« C’est une machinerie d’un régime dictatoriale pour éliminer ses adversaires », a soutenu Nando Bodha.

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