« Le blâme n’est pas la solution », a écrit Arvin Boolell dans un message sur sa page Facebook.
Le député rouge commentait la polémique qu’a engendrée une chanson aux propos qualifiés sectaires et vulgaires, entonnée par les élèves du collège Royal de Curepipe, le jour de la proclamation des lauréats.
« L’harmonie et l’unité, ce sont le socle et la beauté de notre société », a poursuivi le député travailliste, se remémorant les souvenirs de la jeunesse des années 60′, qui « sant sega, pile, sote » alors que « pena enn ras ki pli boufon, pares ».
La solution pour Arvin Boolell est un exercice pédagogique et psychologue dispensé à cette jeunesse « en désarroi, déchaîné et parfwa swazir ekse pou exploz lazwa » sans crainte des conséquences.
Il incombe aux parents et enseignants d’entreprendre une introspection pour décider de la marche à suivre, a précisé ce dernier.
Arvin Boolell a lancé un appel au recteur du RCC d’émettre un communiqué pour apporter des éclaircissements quant à cette affaire.
Rappelons que cette affaire a pris de l’ampleur après qu’un parent « choqué et révolté » par les paroles de cette chanson a attiré l’attention de la direction du collège à cet effet.