(Débats budgétaires) Eshan Juman : « Nous n’avons aucun problème avec une commission d’enquête »

Le député de l’opposition Eshan Juman soutient que le Parti Travailliste n’a aucun problème avec la commission d’enquête instituée par le gouvernement sur l’affaire Betamax. « Bien au contraire, la vérité va encore triompher s’il y a une commission d’enquête parce que le PTr avait bien fait son travail », dit-il mardi après-midi lors de son intervention sur le budget supplémentaire. Mais pour lui, le PTr est contre le fait que les contribuables doivent payer pour la commission d’enquête et payer « les caprices du gouvernement ». Il demande pourquoi le GM n’avait pas institué une commission d’enquête en 2015 mais maintenant. Le parlementaire est d’avis que le PTr sortira gagnant de cette commission d’enquête mais que ce sera au dépens des contribuables.

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Eshan Juman avance que les commissions d’enquête n’aboutissent à rien mais ne fait que perdre de l’argent. Pour lui, c’est la vengeance du gouvernement et qu’il faut arrêter avec une telle politique.

Il fait ressortir qu’« une somme a été engouffrée dans les réclamations de l’ordre de Rs 5,6 milliards de Betamax suivant le cinglant désaveu infligé à ce gouvernement infligé par le Privy Council ».

Le député rouge estime que la « vendetta politique » du gouvernement coûte aux contribuables. Le député estime que cette vengeance a aussi fait des pertes d’emplois et d’une perte de confiance de notre système. « Cette vendetta politique a fait fuir les investisseurs quand le climat économique n’inspire pas confiance », dit-il et ajoute que la vendetta politique a hypothéqué l’avenir du pays et de la jeune génération.

Eshan Juman avance que les deux budgets supplémentaires incluent le Rs 11,9 milliards du NPFL et le présent Rs 4,6 milliards de Betamax, totalisant Rs 16,5 milliards, sans compter les milliards payés par la State Trading Corporation et les honoraires de l’équipe légale. Faisant son calcul qui revient à Rs 18 milliards, il avance que c’est le résultat de la « politique de vengeance adoptée par le régime actuel adoptée depuis 2014 ».

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