ReA réclame la reconnaissance du kreol comme langue nationale

Rezistans ek Alternativ, Kolektif Vilaz Morne, CARES & General Workers Federation, entre autres, ont animé hier, mardi 28 janvier, un point de presse axé sur la commémoration de l’abolition de l’esclavage célébrée le 1er février.

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Le parti de gauche a réclamé « la reconnaissance de la langue créole comme langue nationale et que cela soit inscrit dans notre Constitution ». 

Ashok Subron, porte-parole, a affirmé que son parti « note des éléments positifs sur la manière que le gouvernement organise actuellement la célébration » de l’abolition de l’esclavage. « C’est la première fois que l’Etat insère la question du marronnage et valorise ce problème dans une célébration », a-t-il relevé. Toutefois, estime-t-il, « ce n’est pas suffisant ».

Le collectif réclame aussi que la Constitution présente ceux ayant participé à des actes de résistances contre le système de l’esclavage. De plus, le mouvement demande que « l’esclavage soit aussi inscrit dans la Constitution comme crime contre l’humanité ».

« Later Nou Lavi e Nou Liberte ». C’est le thème que les partis de gauche ont choisi pour commémorer le 185e anniversaire de l’abolition de l’esclavage ce samedi dans le village du Morne.

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