Et la gestion des devises étrangères a pris un sacré coup depuis le mois de juin dernier. D’abord, la Banque de Maurice a dû faire face à un exode de $200 millions en l’espace de quelques jours en juin dernier pour assurer les importations d’un peu plus de 6 000 nouvelles voitures. Conséquence de la frénésie pré et post-budgétaire.
Une fois cette folie de voitures neuves passée, la Banque de Maurice a dû Foot une facture de devises étrangères de l’ordre de 350 millions de dollars américains pour le compte de la State Trading Corporation. En principe, cette transaction aurait dû être réglée en roupies. Finalement, le client a exigé du Hard Currency.
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