La lumière de Divali commence à briller dans les foyers mauriciens. Chez la famille Seetloo, elle éclaire les visages et les cœurs, rappelant que cette fête nationale dépasse les croyances pour célébrer la paix, la solidarité et le vivre-ensemble.
Depuis plusieurs jours, la famille Seetloo se prépare activement pour la fête de Divali. Dans la cuisine, les plateaux de gâteaux traditionnels se succèdent entre le crépitement de l’huile, le pétrissage de la farine et le remplissage des gâteaux patate. Puis viennent le ladoo, le barfi et le khajâ, une tradition transmise de génération en génération.
Lorsque la nuit tombe, la maison des Seetloo s’illumine de centaines de lampes à huile soigneusement alignées. Le prêtre de la famille entame alors la prière, entouré de ses proches, dans une atmosphère de sérénité et de ferveur. Les chants résonnent doucement, portés par la lumière des diyas .
Divali se vit dans la simplicité, la solidarité et le respect, à l’image de ce qui fait la force de Maurice dans l’unité et dans la diversité.
