Le DPM Obeegadoo : « La justice sociale, colonne vertébrale des politiques publiques »

Le Deputy Prime Minister et ministre du Logement, Steven Obeegadoo,clôturant les débats sur le budget supplémentaire de Rs 5,4 milliards, dont Rs 5 milliards seront consacrées aux logements sociaux, affirme que « la justice sociale est la colonne vertébrale des politiques publiques de l’actuel gouvernement ». Pour lui, la lutte politique ne se limite pas à des allégations concernant la corruption mais concerne les faits. Il a cité les mesures introduites par le gouvernement, dont le salaire minimum et la dernière proposition concernant l’éducation préscolaire gratuite en faveur de tous les enfants.

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Steven Obeegadoo s’est évertué à répondre aux questions soulevées, entre autres, par le leader de l’opposition, Xavier-Luc Duval, qui était présent au Parlement jusqu’à la fin des débats. Résumant les appréhensions de l’opposition, le DPM a constaté qu’elle demande au gouvernement de se défaire de la New Social Living Development Ltd (NSLD), de revenir aux appels d’offres traditionnels, de limoger ceux qui sont à la tête de la NHDC et de la NSLD, de ne pas construire plus de 300 unités de logement par site, et de revenir aux méthodes  traditionnelles. « À cette condition, on se limitera à la construction de 548 unités de logement comme ce fut le cas entre 2011 et 2014 », a-t-il repris.

Steven Obeegadoo a estimé que la présentation du budget supplémentaire n’empêche pas les députés de venir avec leurs interpellations lors des prochains mardis. Il a avancé que les membres du gouvernement et lui-même se sont toujours montrés transparents en répondant aux PQs qui leur étaient posées. Pour lui, «  la création de la NSLD répondait à un besoin d’efficacité et elle sera dissoute une fois le projet terminé ».

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S’agissant des remarques faites au sujet du Covid-19, le DPM a affirmé que cette pandémie a affecté l’économie mauricienne ainsi que celle d’autres pays. Il a nié tout gaspillage de fonds et s’est dit prêt à répondre à des questions à ce sujet.

En ce qu’il s’agit de terrains, il a expliqué que le gouvernement a besoin de 38 sites, que 29 ont déjà été acquis dont 10 qui sont des terrains privés. À ce sujet, il a affirmé « ne pas être au courant d’un terrain marécageux qui aurait été acheté d’un proche du MSM .»
Répondant à la remarque de Shakeel Mohamed selon laquelle Port-Louis ne bénéficie d’aucun projet d’infrastructure « parce qu’il vote contre le gouvernement », Steven Obeegadoo a rejeté cette affirmation. Il a expliqué que les terrains sont difficilement accessibles dans cinq circonscriptions (Nos 1, 2, 3, 18 et 19). Et ce, avant de reconnaître que des procédures d’appels d’offres ont été lancées puis abandonnées parce que les offres étaient trop élevées.

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Steven Obeegadoo a, d’autre part, expliqué comment il est parvenu à sélectionner 14 contracteurs. « La NSLD avait pris contact avec les 19 grandes compagnies enregistrées à Maurice au CIDB et qui ont été mises au courant de l’offre gouvernementale. Seize d’entre elles ont manifesté de l’intérêt et 14 ont finalement été sélectionnées. Les maisons seront construites selon un système de “design and build”. Les compagnies ont été choisies en fonction de la localité où qu’elles opèrent », dit-il.

Il a aussi refusé l’idée de « construction de ghettos ». Il a fait ressortir que dans l’ensemble, le nombre de maisons par site sera de l’ordre de 300, sauf à Coromandel « où les autorités disposent de quelque 40 arpents de terrains ».

Steven Obeegadoo a indiqué que les subsides seront de l’ordre de 67%, dans la majorité de cas de 80% pour ceux touchant autour de Rs 10 000 par mois. « En général, les bénéficiaires seront appelés à rembourser entre Rs 600 000 et Rs 900 000 avec une possibilité de remboursement s’échelonnant sur 30 à 35 ans  », rajoute-t-il en évitant de se prononcer sur le taux d’intérêt.

Buisson Léopold : « Lien direct entre logement et changement climatique »

Le député de l’Organisation du Peuple de Rodrigues (OPR) Buisson Léopold a accueilli favorablement le budget supplémentaire concernant les logements sociaux et la construction d’un front de mer. Il a reconnu qu’avec les incertitudes au regard de la situation climatique, il est difficile d’avoir une visibilité sur le budget consacré au projet lié aux effets du changement climatique.

Buisson Léopold a avancé « qu’il y a un lien direct entre le logement et le changement climatique ». Avec l’érosion, a-t-il dit, beaucoup de personnes se voient obligées de quitter les côtes pour s’installer à l’intérieur. Le député a souligné l’importance d’une « politique appropriée pour les logements sociaux et le déplacement des personnes affectées par la montée des eaux ».

FAZILA JEEWA-DAUREEAWOO, MINISTRE DE LA SÉCURITÉ SOCIALE : « Le MSM a toujours eu à cœur le logement pour les plus démunis »

Intervenant après le leader de l’opposition, la ministre de la Sécurité sociale, Fazila Jeewa-Daureeawoo, s’est appesantie sur le fait que « le MSM a toujours eu à cœur la construction de logements pour les plus démunis ». Ainsi, elle a rappelé qu’entre 2010 et 2014, le gouvernement d’alors « n’a construit que 548 unités » de logement, alors que le MSM « en a construit 4 100 de 2015 à ce jour ».

Pour elle, la construction de logements « n’est pas un processus lourd » mais l’exercice nécessite la disponibilité de terres. Et lorsque les terres de l’Etat ne sont pas disponibles, dit-elle, « le gouvernement doit alors procéder à l’achat de terres privées, ce qui prend beaucoup de temps ».
Fazila Jeewa-Daureeawoo a également observé que le projet de construction de logements sociaux s’est heurté à la pandémie de Covid-19, « et aujourd’hui à la guerre en Ukraine, qui pèse lourd dans l’exécution du projet, avec la hausse des coûts des matériaux ».

La ministre a par ailleurs expliqué que le Deputy Prime Minister, Steven Obeegadoo, a informé en permanence le cabinet de l’évolution de la situation concernant les problèmes rencontrés, tandis que les mesures correctives apportées, elles, « sont le fruit de décisions collectives ».
La ministre de la Sécurité sociale a par ailleurs égratigné le leader de l’opposition, qui a occupé dans le passé le poste de ministre de l’Intégration sociale, dit-elle, ainsi que celui de ministre des Finances.

Elle lui a de fait demandé d’énoncer les mesures qu’il avait prises pour la construction de logements sociaux, tout en lui reprochant d’être resté impassible lorsque, en 2011, « le ministre du Logement s’était engagé sur la construction de maisons “bwat zalimet” ».

Fazila Jeewa-Daureeawoo est également revenue sur la décision du gouvernement de consacrer 10% des logements construits par la NHDC aux bénéficiaires du SRM. Dans ce contexte, elle a annoncé que 138 maisons ont déjà été allouées, alors que 95 autres devront être livrées prochainement.

Eshan Juman : « Gaspillage de milliards de roupies »

Eshan Juman s’est dit « écœuré » par la situation actuelle. « Alors que la population souffre de la hausse du coût de la vie en raison de la hausse généralisée des prix, les fonds publics sont gaspillés », dit-il.
Il a lui aussi noté que contrairement à ce qu’a déclaré la ministre Fazila Daureeawoo, « le gouvernement travailliste avait initié une série de projets de construction de logements à travers l’île, et que le gouvernement MSM a finalement inauguré ». Citant un document gouvernemental destiné aux contracteurs intéressés à soumettre des offres, il a tenté de démontrer « qu’en vérité, au lieu de s’intéresser aux logements pour les plus vulnérables, on est en train d’aider les contracteurs financièrement ».

Shakeel Mohamed : « Démocratie rime avec transparence »
Shakeel Mohamed du parti Travailliste s’est évertué à définir la démocratie qui, a-t-il fait comprendre, « rime avec transparence ». Or, dit-il, « le gouvernement fait tout son possible pour entretenir le secret autour du projet de construction des logements sociaux, pour lequel un budget supplémentaire de  Rs 5 milliards est réclamé ». Ce qui explique, selon lui, la création du Special Purpose Vehicle, « qui sera complètement hors du contrôle du Public Procurement Office ».

De plus, les parlementaires ne seront pas autorisés à interpeller le Deputy Prime Minister et ministre de tutelle sur les activités du NLHD responsable de la mise en œuvre du projet de construction de 12 000 logements, et dont la première phase concerne la mise en chantier de 4 000 unités.
Commentant le document remis aux contracteurs qui ont soumis des offres pour la construction des unités de logement, il a cherché à démontrer « comment les contracteurs peuvent sortir gagnants sur tous les plans », d’autant, dit-il, qu’ils « n’auront pas à payer la TVA ». Il a de fait accusé le gouvernement « d’utiliser l’argent public pour faire de la politique ».

Shakeel Mohamed a fait ressortir qu’aucune des 8 000 unités de logement social qui seront construites à travers l’île ne le sera dans les limites de Port-Louis. « Pourquoi aucun projet de construction n’est prévu pour Roche-Bois ou Camp Yoloff, qui disposent pourtant d’espaces libres ? » demande-t-il tout en accusant le gouvernement de « vouloir transférer des groupes de personnes vivant dans le district de Port-Louis dans d’autres circonscriptions .» Après avoir ensuite reproché au gouvernement de « vouloir dilapider les fonds publics », il a dû, sur l’insistance du Speaker, Sooroojdev Phokeer, finir par retirer le terme « dilapider » pour parler de « waste of money ».

Concernant le projet de construction du Waterfront à Deux-Frères, Shakeel Mohamed a estimé que le projet paraît « à première vue intéressant ». Il a cependant reproché aux autorités d’avoir parlé longuement de ce projet dans la circonscription concernée, « sans jamais se soucier de donner les informations nécessaires aux parlementaires ».
Il a ensuite demandé au ministre de l’Environnement, Kavy Ramano, de « ne pas faire comme son collègue, le DPM Steven Obeegadoo, en créant un SPV pour exécuter le projet ». Il a finalement fait un appel au gouvernement en vue d’amender la Public Procurement Act afin d’y inclure le New Living Housing Development sur la liste des compagnies gouvernementales tombant sous le Public Procurement Board.

Vikram Hurdoyal : « Satisfait des développements dans ma circonscription »

Le ministre des Services publics, Vikram Hurdoyal, s’est dit très satisfait de la décision du gouvernement de construire un Waterfront à Deux-Frères, qui fait partie de sa circonscription. « Enfin il y a des développements d’infrastructures dans cette région de l’île, où il existe déjà des établissements hôteliers de haut niveau », dit-il.
De la même manière, il dit accueillir favorablement le projet de construction des 8 000 logements sociaux, dont quelque 400 se trouveront dans sa circonscription. Pour lui, il s’agit d’un « ground breaking project » que ses mandants « attendent depuis longtemps ».

Osman Mahomed : « Le projet de logements sociaux aurait pu être exécuté par la NHDC »

Pour Osman Mahomed, il est évident que le projet de construction de 8 000 unités de logements sociaux aurait pu être réalisé par la NHDC, qui compte près de 30 années d’expérience et qui dispose du savoir-faire nécessaire pour le faire.

Il affirme ainsi avoir, à plusieurs reprises, interpellé le gouvernement sur cette question, ajoutant qu’il avait même suggéré de recruter un personnel supplémentaire à la corporation.

Il déplore que par manque d’expérience, la New Living Housing Development a commencé sur un mauvais pied pour avoir lancé deux appels d’offres ratés et mobilisé un grand nombre d’officiers, ce qui a également entraîné un gaspillage dépassant Rs 500 millions. En outre, le délai fixé pour que les contracteurs choisis se manifestent a expiré lundi, précise-t-il, avant de demander au Deputy Prime Minister et ministre du Logement, Steve Obeegadoo; de donner les noms de ceux ayant signifié leur intérêt de s’engager dans le projet.

À la ministre de la Sécurité sociale, il soutient que « le gouvernement MSM a inauguré une série de projets de logements, qui avaient été initialement lancés par le gouvernement britannique ». Il a finalement demandé au gouvernement de revoir ce projet.

Patrice Armance : « Le gouvernement doit dire la vérité »

Le Whip de l’opposition, Patrice Armance, a affirmé que « tout ce que souhaitent les parlementaires de l’opposition, c’est que le Premier ministre adjoint vienne dire la vérité aux parlementaires concernant le projet de construction pour lequel le Parlement est appelé à voter un budget supplémentaire de Rs 5 milliards ». Il est ensuite revenu sur les arguments mis en avant par le leader de l’opposition, Xavier-Luc Duval, et demande à Steven Obeegadoo de répondre à ces questions.

Kalpana Koonjoo-Shah : « Les personnes vulnérables au cœur de l’action du GM »

La ministre de l’Égalité des Genres, Kalpana Koonjoo-Shah, a émis quelques remarques sur les interventions d’Osman Mahomed, Patrice Armance et Patrick Assirvaden, avant d’expliquer que la construction de logements sociaux s’inscrit dans la démarche du gouvernement « de rechercher une croissance inclusive et durable, et qui fait l’impossible en faveur des citoyens les plus vulnérables ».

Elle a d’autre part reproché au leader de l’opposition, Xavier-Luc Duval, d’avoir traité les projets de logements sociaux de « ghetto », l’accusant ainsi de regarder les plus pauvres « de manière arrogante ». Pour elle, le gouvernement « est animé d’une volonté de travailler pour le bien-être des citoyens en général ».

Naveena Ramyad : « Le front de mer de Deux-Frères aura un impact économique »

La Chief Government Whip, Naveena Ramyad, a estimé que ce budget supplémentaire accorde « une attention particulière » à la construction d’un front de mer à Deux-Frères, « petit village situé dans le sud-est du pays », rappelle-t-elle. Avec l’abandon de l’extraction de sable à cet endroit en 2001, « cette activité a eu une incidence sociale sur les revenus des familles vivant dans cette partie de l’île », poursuit-elle. « La construction de ce front de mer aura ainsi un impact économique pour les habitants de l’endroit. »

Ce projet, selon Naveena Ramyad, rejoint la politique déclarée du gouvernement, qui est de « putting people first at the center of every growth potential », dit-elle. « Il sera aussi bénéfique à l’environnement, car des observations faites à cet endroit ont démontré que l’érosion de la côte est bien réelle. » Elle poursuit : « L’érosion de la côte entraîne dans son sillage le mélange de terre avec la mer, et cela a un impact sur les fonds marins. »

En sus de cela, elle se dit d’avis que la côte de Deux-Frères est « très vulnérable » aux effets du changement climatique. « Il est indéniable que les petits États insulaires sont les plus affectés par la montée des eaux. Le rapport du panel intergouvernemental sur le changement climatique en date de 2022 a confirmé que les petits États insulaires sont aussi de plus en plus affectés par les cyclones tropicaux, la sécheresse, etc. »
D’où son interrogation : « Que doit-on faire alors ? Se reposer sur nos lauriers et attendre ? Ou trouver des solutions Panadol, comme c’était le cas en 2005 jusqu’en 2014, où les infrastructures existantes n’arrivaient pas à contenir n’importe quelle inondation ? » Pour elle, c’est un fait : les habitants de la région « ont été bernés par de fausses promesses par l’ancien régime ».

Elle explique que des travaux de protection de la côte, étalés sur 5,4 km, sont en cours de Pointe-aux-Feuilles à Grand-Sable, de Petit-Sable à Bambous-Virieux, de Bambous-Virieux à Anse-Jonchée, et de Providence à Vieux-Grand-Port et à Bois-des-Amourettes. Ces travaux ont démarré en 2019 et se termineront cette année, dit-elle.

Le front de mer, qui s’étendra sur 900 mètres, disposera, lui, d’une nouvelle route d’accès, d’un centre pour la National Coast Guard, d’espaces pour le développement futur, d’aires de stationnement, d’endroits récréatifs, de facilités de toilettes, d’un terrain de jeux pour les enfants, d’endroits dédiés aux catamarans et speed boats, ainsi que des espaces commerciaux, a-t-elle affirmé.

Le ministre Ramano : « L’érosion des plages et la dégradation
du littoral sont des soucis majeurs »

Le ministre de l’Environnement, Kavy Ramano, a déclaré que «  l’érosion accentuée des plages et la dégradation du littoral constituent des soucis environnementaux majeurs rencontrés par notre zone côtière .»
Il a fait état des impacts croissants du changement climatique, tels que l’élévation du niveau de la mer, l’acidification de l’océan, l’augmentation de la température de surface de la mer, provoquant le blanchissement et la mortalité des coraux, et l’augmentation de la fréquence et de l’intensité des phénomènes météorologiques extrêmes.

Le ministre estime que Maurice connaît une élévation accélérée du niveau de la mer de 5,6 mm par an, soit un peu moins du double de la moyenne mondiale, qui est de 3,3 mm par an, aggravant l’érosion des plages.
De plus, les coraux du lagon et la barrière récifale souffrent d’événements récurrents de blanchissement des coraux dus à l’augmentation de la température de surface de la mer, entraînant une diminution de leur fonction protectrice contre les forces des hautes vagues ainsi que leur capacité de régénération du sable. L’érosion a réduit la largeur des plages autour de certains littoraux jusqu’à 20 m au cours des dernières décennies.

Face à ce problème d’érosion à Maurice, « aucun effort n’est épargné et rien n’est laissé au hasard par le gouvernement pour résoudre ce problème croissant. » Il met en avant le fait que « over the last eight years, some 35 priority eroded sites over 13 km have been rehabilitated to the tune of some Rs 1 billion. For the year 2022/23, Rs 182 millions have been earmarked under the National Environment and Climate Change Fund for coastal rehabilitation .»

Le ministre rappelle que les observations ont montré que la côte du Sud-Est, dont la région de Deux-Frères, est basse à plusieurs endroits et est vulnérable aux impacts des hautes vagues, entraînant l’érosion des plages et l’inondation de la route côtière et des résidences.

« Des observations faites sur place ont montré que le rivage à Deux-Frères est touché par l’érosion. Il est rappelé que le site de Deux-Frères fait face au grand lagon de l’estuaire de la GRSE. Il s’étend sur environ 900 m au nord du village de Deux-Frères jusqu’à la jetée », avance-t-il.
Ainsi, il estime que la réalisation du projet du Waterfront à Deux-Frères serait un catalyseur majeur pour stimuler les activités économiques ainsi que pour générer des emplois pour les habitants des villages de Deux-Frères, Quatre-Sœurs, Grand-Sable, Petit-Sable, GRSE, Bel-Air, ainsi que les villages voisins. De plus, selon lui, « cela garantira un embarquement et un débarquement sûr des passagers des catamarans ». Cela accroîtra également la résilience côtière contre les effets néfastes du changement climatique et la montée du niveau de la mer sur ce tronçon côtier particulier, atténuant de fait les risques pour le public et les infrastructures qui s’y trouvent.

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