AU LCQB : Je crois en la jeunesse et en sa capacité, a déclaré Ameenah Gurib-Fakim

Le Collège du Lorette de Quatre-Bornes (LCQB) a accueilli ce matin la présidente de la République, Ameenah Gurib-Fakim, invitée d’honneur à la cérémonie du lever de drapeau. Ancienne élève au LCQB, elle a demandé aux jeunes filles de donner le meilleur d’elles dans ce qu’elles entreprennent car « le destin du pays est entre vos mains ». Les autres invités étaient Josiane How Kong Fah, ancienne rectrice du LCQB maintenant à la retraite, et soeur Christine.
L’invitée d’honneur au Collège du Lorette de Quatre-Bornes ce matin pour la cérémonie du lever de drapeau était la présidente de la République, Ameenah Gurib-Fakim. Cette ancienne élève du LCQB a répondu à l’invitation de l’établissement pour célébrer le 48e anniversaire de l’indépendance du pays et le 24e de la République. Sous les applaudissements des élèves et du corps enseignant et non-enseignant, Ameenah Gurib-Fakim a été accueillie par soeur Christine et Josiane How Kong Fah, toutes deux également invitées pour la cérémonie, ainsi que Cathy de Cazanove, rectrice par intérim, et soeur Marie Ange, directrice du collège. La cérémonie s’est poursuivie avec l’hymne national chanté par toutes les personnes présentes et la lecture discours du Premier ministre par Josiane How Kong Fah.
Lors de son intervention, Ameenah Gurib-Fakim a souligné l’importance du rôle et de la contribution des aînés dans la construction du pays. Elle a déclaré que « nos différences culturelles ont conduit à une richesse pour le pays » plutôt qu’à « une symbiose difficile ». Selon elle, malgré le fait que « certains prévoyaient le chaos et la chute économique du pays en 1968, c’est ensemble, main dans la main, dans le respect de tout un chacun, que le pays arrive à avancer ».
Ameenah Gurib-Fakim a lancé un appel aux élèves présentes ce matin afin qu’elles prennent le destin de leur pays entre mains. « Je compte sur vous pour redéfinir les contours du pays afin que vous puissiez faire de Maurice un grand pays. Car j’ai toujours eu foi en la jeunesse de ce pays et en sa capacité. ».

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