BAI : Les sept péchés capitaux selon Dawood Rawat

Après plus de 225 jours depuis l’éclatement de l’empire BAI, le Chairman Emeritus de BAI, Dawood Rawat, qui a cherché refuge en France bénéficiant de sa double nationalité franco-mauricienne, dévoile ses premières batteries. Devant la décision du gouvernement de rejeter la demande de réclamations de Rs 35 milliards suite à l’écroulement de l’empire BAI, il s’appuie sur “sept péchés capitaux” commis par les autorités mauriciennes pour articuler sa demande d’arbitrage sous l’article 8 de l’Investment Promotion Treaty entre la France et Maurice en date du 22 mars 1973. D’un revers de la main et avec des précédents sur le plan international, il soutient que, contrairement à ce qu’avancent les autorités, il peut se prévaloir de la protection sous le traité franco-mauricien contre la confiscation de ses propriétés. Tout au long de ces 63 pages de la plainte, rédigée par les soins de ses conseils légaux, le Dr Andrea Pinna et le Pr Xavier Boucobza, le leitmotiv demeure que Dawood Rawat et ses proches, en l’occurrence ses deux filles, Adeela Rawat-Feistritzer et Laina Rawat-Burns, sont des victimes de la vendetta politique menée par le gouvernement de Lalyans Lepep depuis décembre de l’année dernière et que “the misappropriation was politically and personally motivated”

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