DÎNER DES ANCIENS PRÉSIDENTS ET COMMISSAIRES : Beaucoup ont pris la clé des champs

C’est ce qu’on appelle du rififi au dîner des anciens et actuels présidents et commissaires du Mauritius Turf Club. Jeudi, beaucoup ont pris la clé des champs pour bouder carrément cet événement annuel et traditionnel qui annonce au passage le début de la saison. Selon nos informations, une douzaine de personnes seulement ont répondu à l’invitation du président du MTC, Gilbert Merven, jeudi au restaurant la Clé des Champs. Parmi, on a noté la présence de seulement quatre commissaires du nouveau board du MTC, à savoir le président Merven, Alain Noël, JeenarainSoobagrah et Michel Halbwachs. Si l’absence de Jean-Michel Giraud à ce dîner était une quasi certitude, par contre celle diplomatiquement expliquée de Jean-Marc Ulcoq n’a pas manqué de faire l’objet de commentaires. Surtout après son retrait dans la décision concernant l’embauche de Ian Paterson au détriment de Stéphane de Chalain.
Du reste, ce recrutement de dernière minute n’a pas manqué d’occuper les conversations de ce dîner à laquelle dit-on le Général Manager, Benoit Halbwachs, était arrivé aux alentours de 21h. Selon les informations qui ont transpiré, le président Merven aurait confirmé que l’arrivée du nouveau président du board des commissaires de courses va coûter quelque Rs 3.5 millions au MTC pour la nouvelle saison.
Un ancien commissaire a profité de cette affirmation pour reprocher au président du MTC de n’avoir rien déclaré lors de l’Assemblée Générale annuelle, tout comme le sponsoring des compagnies de Paul Foo Kune (Bet On Line et Play On Line) pour les trois ….. années à venir sur la Duchesse. Selon cette même source, le président, Gilbert Merven, a passé une soirée embarrassante. Comme nous apprenons aussi qu’il ne sait plus où mettre la tête suite aux reproches de nombre d’entraîneurs à propos de l’effort qu’il leur a réclamé pour le paiement des frais des palefreniers afin de permettre au Club d’économiser Rs 5 millions sur une année. «Maintenant nous voyons où va partir notre économie», a déclaré à Week-End un propriétaire de chevaux.

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