DREAMCATCHERS: Ces croyances à la mode

On les associe à des perles, des plumes, des bouts de bois, du métal, des cristaux, ou encore à des objets ésotériques. Avant de devenir un objet déco ou un accessoire de mode, les attrape-rêves, plus connus sous le nom de dreamcatchers — qui trouvent leur origine dans la culture amérindienne — auraient, selon une croyance populaire, la capacité d’emprisonner les mauvais rêves dans sa toile (d’araignée, à l’origine) durant la nuit et de les détruire grâce à la lumière des premiers rayons du soleil. Tout en perpétuant la légende, des créateurs ont voulu détourner cet objet traditionnel censé chasser les mauvais rêves, en des accessoires de décoration colorés que l’on peut non seulement accrocher à la fenêtre, mais aussi porter comme un bijou ou orner un sac. À Maurice, Ingrid Paul-Boitier, 28 ans, en est une passionnée. Bijou ethnique, sac boho, ornement… elle les confectionne entièrement à la main (les sacs seulement à la machine), à la demande, à partir de divers matériaux. Rencontrée chez elle à Beau-Bassin, elle nous propose de créer le nôtre, à l’aide des objets de récup…

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