ÉCURIE FOO KUNE : L’aventure continue avec Robbie Burke

Séparés à l’issue de la journée de samedi dernier, l’écurie Foo Kune et Robbie Bruke se sont à nouveau associés deux jours après, soit lundi, à l’issue d’un compromis trouvé par les deux parties. Au fait, il nous revient que c’est suite à  une longue conversation entre le Stable Manager Paul Foo Kune et l’Irlandais qu’on reverra cette association lors de la journée de samedi.
Après l’annonce de leur séparation, le Stable Manager de l’écurie avait confirmé à la presse que les deux parties avaient mis un terme à leur association. Il avait de plus déclaré que son remplaçant avait même été trouvé en la personne d’une vieille connaissance, Noël Callow, et que ce dernier avait déjà donné son accord.
Contacté au téléphone après les renseignements d’une réconciliation, l’entraîneur Budheswar Gujadhur déclara qu’au sein de l’écurie «C’était business as usual»et que «le Stable Manager avait sans doute eu une longue conversation avec Robbie Burke avant de trouver un terrain d’entente. »
Tout est bien qui finit bien  serait-on tenté de dire.
Mais la question que tout le monde se pose est qu’est-ce qui a pu motiver cette séparation? Il n’est un secret pour personne que les choses ne se passaient pas bien entre Robbie Burke et l’état-major de l’écurie Foo Kune ces dernières semaines, surtout au niveau des résultats. Des recoupements d’informations effectués sur place, il s’avère qu’on reprochait, dit-on, à la cravache irlandaise certains de ses choix en course. Burke n’a ramené que quatre gagnants contre neuf 2es places en vingt-huit montes cette saison. Il a fait chou blanc samedi dernier après avoir sauvé in extremis sa journée du 13 avril dernier  avec Eagle Award.
Ce qu’il faut aussi savoir c’est que Robbie Burke lors de sa venue chez nous en 2010 avait décroché la cravache d’or mais devait signer pour Gujadhur en 2011 pour confirmer son statut de meilleur jockey et le partenariat fut renouvelé en 2012. Toutefois, il n’alla pas au bout de son contrat suite à un différend entre les deux parties.
Les mauvaises langues prétendent que le principal grief de tous ceux qui ont employé Robbie Burke jusqu’ici est que l’Irlandais n’est pas un bon juge en ce qu’il s’agit d’évaluer les chances de ses montures.

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