EWJF : La formation Soixante-dix donne le coup d’envoi

C’est la nouvelle formation Soixante-dix qui donnera le coup d’envoi du festival de Jazz Ernest Wiéhé (EWJF) à l’hôtel Tamarin, ce soir à 20 heures. Dirigée par Momo Manancourt, la formation revisitera les grands titres du séga mauricien des années 70 sous un air jazzy. Soixante-dix se produira pendant une heure sur scène et sera suivi par le EWJF Megatentet, dirigé par le jazzman François Jeanneau, qui a connu Ernest Wiéhé. La chanteuse sud-africaine Melanie Scholtz, invitée au festival, assurera la partie vocale du concert.
La deuxième édition du festival Ernest Wiéhé verra la participation, sur différentes scènes du pays (à Tamarin, Grand-Baie et Rose-Hill), de pas moins de 40 artistes mauriciens, français et réunionnais. Vendredi, Fabrice Legros et le Trio de Bélingo Faro seront pour leur part à l’hôtel Tamarin à partir de 20 heures. Pendant ce temps, le trio de Marie-Luce Faron et l’EWJF Magetentet seront à l’Institut français de Maurice (IFM) alors que The volunteered slaves et Jean-Marie Marrier, qui présentera son nouvel album, ‘Nature boy’, seront au Cocoloko, à Grand-Baie. Après minuit, les noctambules pourront apprécier Melanie Scholtz et le DJ René Feat à Insomnia, à Grand-Baie.
Le festival prend fin le samedi 14 sur des notes des Volunteered slaves à l’hôtel Tamarin. Jean-Marie Marrier y présentera son dernier opus à 20 heures. Le Quartet de Clifford Boncoeur et Fabrice Legros seront au Cocoloko, à 20h et 21h respectivement. La chanteuse sud-africaine et le DJ Feat -animeront l’« After » au Big Willy’s à Tamarin à partir de minuit.
Le public a pu avoir un avant-goût du festival lors des deux concerts gratuits offerts en prélude le week-end dernier. François Jeanneau avait alors dirigé le Big Band du conservatoire François Mittérand lors d’un « soundpainting » à  La Pointe Tamarin le samedi 7 à la tombée de la nuit. Le « soundpainting » est défini comme : « Un langage des signes, universel et multidisciplinaire, permettant la composition en temps réel. Cette composition résulte ainsi de l’interaction entre les improvisations des exécutants et celle du soundpainter. » Le lendemain, à la même heure, le Mo’zar jazz big band, dirigé par José Thérèse, était à Grand-Baie La Croisette.

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