FÊTE NATIONALE FRANÇAISE : Laurent Garnier souligne le soutien de la France à l’éducation supérieure

L’ambassadeur de France, Laurent Garnier, qui donnait une réception à l’occasion de la fête nationale française au Club Med de Tamarin hier, a insisté sur le soutien français au secteur de l’éducation tertiaire.
Laurent Garnier a, dans ce contexte, souligné que des diplômes universitaires français sont désormais disponibles à Maurice entre autres à travers la Chambre de Commerce et d’Industrie et la collaboration des universités françaises avec l’université des Mascareignes.
La présence universitaire française à Maurice est complémentaire avec les bourses accordées par le gouvernement français dans les universités françaises, a-t-il souligné.
Laurent Garnier a aussi insisté sur le dynamisme des entreprises mauriciennes dont plusieurs opèrent actuellement en partenariat avec des entreprises françaises. Il s’est, par ailleurs, réjoui du partenariat français au niveau des entreprises publiques, qui est indicateur du dynamisme de l’économie mauricienne. Il s’est aussi appesanti sur le rôle de l’Agence française de Développement qui a financé, entre autres, la route Phoenix/Verdun.
La réception donnée hier par l’ambassadeur de France était marquée par la présence du président de la République, Kailash Purryag, du Premier ministre, Navin Ramgoolam, du ministre des Affaires étrangères, Arvin Boolell. L’ancien président de la République sir Anerood Jugnauth était également au Club Med durant la partie protocolaire de la cérémonie. Des personnalités du secteur privé étaient également présentes.
Dans une déclaration à la presse, Navin Ramgoolam a indiqué qu’il compte adresser une correspondance dans les prochains jours à son homologue français, Manuel Valls au sujet de sa demande concernant l’amnistie à être accordée à deux détenus français à Maurice notamment un homme dont l’état de santé laisse à désirer et à une jeune femme qui a purgé une large partie de sa peine à Maurice après avoir été arrêtée pour trafic de drogue. Il semblerait que la demande française a été acceptée par le gouvernement mauricien.

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