FINALE BARMASTERS 2016 : Sachin Samoburthia à l’honneur

La finale de Barmasters, qui s’est tenue vendredi dernier, a vu la consécration de Sachin Samoburthia, bartender à l’hôtel Prince Maurice. Il représentera Maurice à l’International Marie Brizard Masters au mois de novembre à Bordeaux.
Ce concours organisé par Scott Ltd, en collaboration avec la Rhumerie de Chamarel et Marie Brizard Wines and Spirits, a réuni dix des meilleurs barmen d’hôtel, dont une barwoman, Isabelle Fanny, de Heritage Telfair, qui a décroché la deuxième place. Vincent Nombreuse de l’hôtel Dinarobin a remporté le prix de la meilleure vidéo. Le président du jury, Émile Chaillot, considéré comme une sommité en mixologie, a félicité les concurrents en trouvant que « tout a été scrupuleusement respecté ». Il s’est dit étonné devant le savoir-faire, la créativité et le degré d’engagement des participants. « Technicité, charisme, mise en scène, respect du thème et de la marque, tout y était. » Pour cette compétition, les candidats ont été jugés sur plusieurs critères, l’originalité, la présentation et le goût. Dix minutes leur ont été allouées pour réaliser leur cocktail et faire leur show. Ils devaient s’inspirer des années 1880, l’époque de Gatsby le magnifique, où l’alcool était interdit dans les bars, masqué dans des cocktails. Ils avaient droit pour cette expérience de faire un choix parmi cinq ingrédients, dont l’un des 12 rhums de Chamarel et l’une des 85 liqueurs signées Marie Brizard.
Sachin Samoburthia, le grand gagnant, s’est distingué en utilisant du romarin, du sirop d’amande, de la peau d’orange et des liqueurs épicées mêlées à la liqueur d’absinthe de Marie Brizard et du VSOP de Chamarel. Pour rappel, trente barmen ont posté une vidéo de présentation de leur cocktail sur la page Facebook Bar Masters. Olivier Couacaud, Commercial Director de la Rhumerie de Chamarel, affirme : « Ce sont les barmen qui font découvrir les produits locaux aux touristes. Avec cet événement, nous voulons leur permettre de découvrir et d’expérimenter librement nos produits locaux sans passer par les différents leviers de contrôle qu’il peut y avoir dans les hôtels, et d’améliorer leur technique. »

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