GUILLAUME CLARISSE ARTISTE-DESSINATEUR : De curieux personnages et des constructions

Suivez les aventures de Chung, l’histoire d’un jeune garçon qui aime peindre les arc-en-ciel, par le jeune dessinateur Guillaume Clarisse. Tout un univers de dessins qui attendriraient les coeurs les plus durs pour le prochain livre de Amarnath Hossany (Chung et les couleurs de l’arc-en-ciel, Bartholdi, 2013). Entre monstres mythiques et la fabrication de personnages sortis de son imagination, Guillaume Clarisse nous présente les dessins d’un créateur débutant.
Guillaume est un jeune artiste au style réellement singulier. Enfant à l’imagination débordante, il commence très tôt à se passionner pour l’image. Il aime la BD, les cartoons, les livres de science fiction. À l’école, il créera des caricatures imprimées sur des t-shirts pour ses amis, mais aussi des vignettes, des logos et l’illustration de couvertures de livres. Bientôt, il passera son diplôme d’Arts plastiques à La Réunion. Il ne sait pas encore s’il va s’orienter vers l’art digital ou une autre discipline, mais il possède actuellement un réel talent d’illustrateur-dessinateur. En témoignent ses travaux d’école, l’illustration d’une collection de BD d’artistes mauriciens qui paraîtra en juillet. Depuis son premier album, cet artiste, animé par la curiosité, ne cesse d’exploiter toutes les potentialités de l’image et soigne particulièrement ses constructions. Travaillant plus souvent en binôme, il a signé quelques illustrations de livres dont le dernier en date va paraître aux Éditions Bartholdi… On citera Chung et les couleurs de l’arc-en-ciel. Poussons discrètement la porte et entrons découvrir le petit monde de ce garçon qui montre timidement ses travaux.
Il nous parle de ses premières lectures de bandes dessinées (Spirou, Tintin…) et les efforts qu’il faut déployer pour publier ses premières planches, les premiers dessins d’un créateur débutant. Passionné du neuvième art, il suit aussi la tradition de la science-fiction. Il ajoute une dimension particulière au genre en créant des personnages mauriciens. Si la SF le fait voyager, elle lui donne aussi des idées, comme la création une race qui n’existe pas en faisant des recherches et des expérimentations.

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