HIPPISME : « Partager la passion de nos marques » insiste Daniel D’Arifat 

Pharmacie Nouvelle Limitée, étroitement associée depuis sa naissance en 1912 au Mauritius Turf Club, lui-même bicentenaire, veut frapper fort pour son 100e anniversaire. Elle démarre ses festivités marquant cet événement samedi avec le parrainage de la 25e journée hippique qui couronnera le nouveau roi du sprint lors de la Pharmacy Nouvelle Ltd Centenary Princess Margaret Cup 2012.
« Dans la valeur traditionnelle et la pérennité dans le temps, nous ne pouvons trouver meilleur endroit que le Champ de Mars pour honorer cet anniversaire et surtout l’un des deux fondateurs de la Pharmacie Nouvelle, en l’occurrence Raoul Rochecouste », rappelle Daniel D’Arifat, Deputy CEO de la compagnie commanditaire de la journée de courses de ce samedi.
À l’occasion de ce 25e acte hippique, sept des huit courses au programme symboliseront un produit qu’exploite sur le marché la Pharmacie Nouvelle, de BébéCâlin (course d’ouverture) à Panzani (septième épreuve) en passant par Blédina (2e), Nivea (3e) et autre Signal (4e).
« Nous voulons partager avec le public la passion de nos marques l’espace d’un après-midi hippique », insiste Daniel D’Arifat,
C’est à travers une pharmacie de détail qu’est née la Pharmacie Nouvelle en 1912. Une officine qui vit le jour le 1er mai au n°5, rue Royale, et qui était la 13e pharmacie de la capitale. « Aujourd’hui, la Pharmacie Nouvelle se compose de quatre départements, avec des produits de grande consommation, des produits pharmaceutiques et chimiques, et son unité de production », souligne par ailleurs le n°2 d’une compagnie dont le chiffre d’affaires tourne autour de Rs 1,2 milliard.
Le président du MTC, Gilbert Merven, s’est pour sa part appesanti sur l’historique de la prestigieuse Princess Margaret Cup, remise pour la première fois par la princesse britannique elle-même en 1956.
Introduit au MTC par Grégoire et Perdrau, Raoul Rochecouste, un féru du cheval, a été propriétaire de chevaux de courses dès 1925. Une année plus tard, il se distingua en remportant le Maiden. Cinq ans après (1931), il s’offrit sa propre écurie. Celle-ci remporta, entre autres, les trois premières classiques de la saison 1933 avec le même coursier, Ten Cents, au nom évocateur et qui à l’époque ne coûta que dix sous pour son acquisition. Seule la Coupe d’Or échappa à ce coursier.
En 1953, Guy Rochecouste prit le relais à son père à la tête de l’écurie de la famille jusqu’en 1958, avec au passage un titre de champion dès 1953. En 1989, les descendants de Rochecouste mirent en compétition un trophée en hommage au patriarche. Un exercice qui est renouvelé chaque saison jusqu’aujourd’hui.

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