Hôtel Le Chaland – Currimjee Hospitality : « De vaines tentatives pour bloquer le projet »

Suite à l’article publié dans l’édition du Mauricien en date du 13 avril 2018, nous souhaitons faire publier ce droit de réponse :

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Si le Blue Bay Marine Park (BBMP) figure sur la liste de l’annexe 4b (point 15) des sites Ramsar depuis 2015, c’est parce que des tiers, en l’occurrence AKNL, ont envoyé une lettre au Ramsar Secrétariat pour dire que, selon eux, il y aura des changements négatifs dans le parc marin : « 15. L’annexe 4b contient l’état de 66 Sites Ramsar pour lesquels des changements négatifs dans les caractéristiques écologiques, induits par l’homme, ont été signalés par des tiers mais non confirmés par l’Autorité administrative. »

Le fait que ces sites figurent ici ne signifie pas que la Conférence des Parties, le Secrétariat ou la Partie concernée considèrent qu’ils font face à un changement négatif. »

Le document Ramsar précise bien qu’il s’agit de « Dossiers ouverts pour lesquels le Secrétariat a reçu des informations de sources autres que les Parties contractantes. Notre projet a obtenu le « clearance » du National Ramsar Committee en juin 2014 après étude détaillée du dossier et après avoir suivi toutes les procédures. Ainsi, tous nos permis et autorisations sont en bonne et due forme.

Toutes les allégations portant à faire croire que nous ne respectons pas les conditions de notre EIA dans le cadre de notre projet d’hôtel au Chaland sont totalement fausses et sans preuve. Ces allégations ne sont que de vaines tentatives pour encore une fois bloquer notre projet hôtelier, comme cela a été le cas depuis plus de deux ans.

Notre projet se fait de manière responsable, professionnelle et contrôlée : les autorités compétentes effectuent le « monitoring » non seulement en visitant le site du développement mais aussi à travers le « Environment Monitoring Programme » et s’assurent que les conditions de l’EIA sont strictement respectées.

Rappelons qu’en décembre 2016, un jugement sans équivoque a été rendu par le Tribunal de l’Environnement en faveur du projet hôtelier rejetant en bloc les 9 points avancés par G. Ah-Yan et B. Savrimootoo, dont le sujet de la dune, le parc marin et les dangers pour l’environnement.

Les opposants ont la prétention d’en savoir plus que les autorités et les fonctionnaires qui font leur travail avec professionnalisme et aimeraient les remplacer. D’après la logique de ces mêmes opposants, ce sont eux qui doivent décider et vérifier de la validité d’un EIA, alors qu’ils n’ont aucune expertise.

Les opposants évoquent une soi-disant catastrophe écologique alors que Currimjee Hospitality travaille sur la restauration de l’écosystème qui a été endommagé par les activités humaines depuis des centaines d’années en créant une forêt endémique côtière de près de 16 000 plantes et arbres sur le site. Ces initiatives sans précédent dans un tel projet, développées par des experts mauriciens et approuvées par les autorités compétentes, ont l’objectif de protéger la dune restante ainsi que le parc marin de Blue-Bay.

Currimjee Hospitality rappelle qu’il est de notoriété publique que le parc marin de Blue-Bay est gravement atteint par les activités humaines existantes qui nuisent au parc marin depuis des années, mais note aucune action de la part des mêmes opposants contre les activités actuelles qui endommagent chaque jour le parc marin. Currimjee Hospitality s’étonne cependant que les opposants blâment son projet hôtelier pour la destruction du parc marin alors que les opérations n’ont même pas débuté et des mesures sans précédent sont incluses pour protéger le parc marin.

Pendant ces deux dernières années, Currimjee Hospitality a dû faire face à toute une panoplie de faux arguments de la part des opposants : Mare-aux-Songes, la plage publique, un soi-disant rapport caché, le NCG, le parc marin et a même été menacée d’être dénoncé à l’ICAC en octobre 2015. Aujourd’hui, si tous ces arguments sont tombés, c’est parce qu’ils n’avaient aucun fondement et qu’il est toujours difficile de prouver ce qui n’est pas vrai.

Les 7 membres d’AKNL ont souhaité proposer un accord en juin 2017 au Groupe Currimjee, à travers leur conseil légal, accord qu’ils ont signé et soumis au Tribunal de l’Environnement en juin 2017 après avoir pris connaissance des modalités, attestant qu’ils acceptaient que la construction aille de l’avant sur la base des permis et des plans existants, qu’ils étaient en phase avec l’EIA et d’accord sur le fait que le projet ne représentait pas de danger pour l’environnement.

Aujourd’hui, cet accord est toujours en vigueur et AKNL trouve des subterfuges et des porte-parole continuer à s’opposer à notre projet et à tenter de manipuler l’opinion publique.

Currimjee Hospitality dénonce ce procédé malhonnête qui sert des intérêts troubles et personnels et tient à questionner leurs motivations profondes.

Currimjee Hospitality réaffirme qu’il respecte son EIA scrupuleusement, que le projet intègre toutes les mesures de protection de l’environnement et se concentre sur son développement afin d’en faire une référence en matière de développement durable pour le pays

Dinesh Burrenchobay

Managing Director

Currimjee Hospitality

18 avril 2018

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