JEUX DE LA FRANCOPHONIE: TENNIS DE TABLE—Akhilen Yogarajah passe en quarts

Le Mauricien Akhilen Yogarajah a obtenu sa qualification pour les quarts de finale en terminant premier du groupe 6 de la phase éliminatoire du tournoi de tennis de table des Jeux de la Francophonie. S’il a connu une défaite lors de son deuxième match, il s’en est par contre bien sorti contre ses deux adversaires suivants. De son côté, Caroline Ramasawmy a échoué de peu dans sa quête d’un billet pour le tour suivant.
Akhilen Yogarajah a débuté sa campagne en simple hommes de fort belle manière. Dans son premier match, le Mauricien a dominé le Suisse Philip Merz sur le score de 3-1. « Il a frappé fort lors de la rencontre », déclare l’entraîneur national, Rajessen Desscann. Mais à peine la liesse retombait que le Mauricien butait sur un os dur. Le Togolais Mawussi Agbetoglo s’imposait de justesse au terme d’un match serré 3-2.
Cependant, lors de sa troisième rencontre, Yogarajah s’emparait de la victoire contre le Nigérian Mahaman Lawan Saley 3-0. À ce moment-là, tout pouvait arriver, puisque le Suisse et le Togolais étaient encore en lice pour le seul ticket pour les quarts. Philip Merz l’emportait 3-1 sur le Togolais, ce qui offrait en même temps la première place et le ticket en quarts de finale à Akhilen Yogarajah.
Il devait jouer les quarts de finale à partir de 13h30 (heure de Maurice) contre le Belge Indeherberg, classé 291e mondial, selon le site de la Fédération internationale de tennis de table.
De son côté, Caroline Ramasawmy est passée près d’un ticket pour les quarts en simple dames. En effet, dans une poule à trois, la Mauricienne a connu une seule victoire, contre la Congolaise Lumbo Mwana Mbuta, 3-0. Mais lors de sa deuxième sortie, Caroline Ramasawmy a connu une défaite aux mains de la Polonaise Maja Krzewicka 3-0 également. L’aventure s’arrête donc là pour elle.
« Caroline a très bien joué. Mais elle est tombée sur plus forte qu’elle. Maintenant, la performance des athlètes pourra servir à donner un nouveau souffle au tennis de table mauricien », ajoute Rajessen Desscann.

- Publicité -
EN CONTINU

l'édition du jour

- Publicité -