LES LARMES AUX YEUX, LE VENTRE VIDE : Bel élan pour sortir la famille de la misère

Il y a deux semaines, Carole et Jean-Paul témoignaient de leur quotidien difficile dans les pages de Scope. Deux petites bouches à nourrir avec un salaire de femme de ménage de Rs 50 par jour et le loyer de Rs 1,500 d’une “maison” en tôle, sans électricité. Des conditions de vie qui ont touché des Mauriciens qui ont déclenché une véritable chaîne de solidarité.
Nous avons fait le suivi de toute cette opération et avons rencontré à nouveau cette famille. Cette fois, pas de larmes. La générosité des uns et des autres a ramené l’espoir, et cela se voit dans les yeux de Carole et Jean-Paul.
Dans l’édition de Scope (No 1316, 7 au 13 mai), on pouvait lire, sous la rubrique Human Story, le quotidien difficile de Carole, Jean-Paul et leurs deux enfants. Logé dans une bicoque située dans un faubourg de la capitale, le couple se démenait, avec Rs 50 par jour, pour nourrir ses deux petites bouches de 4 et 5 ans. Timides et honteux de leur situation lors de notre première rencontre, ils osaient à peine dire qu’ils n’avaient pas de nourriture, pas d’électricité et d’argent pour payer le loyer.
Suite à la parution de ce texte, un véritable élan de solidarité s’est mis en place. Vous avez été nombreux à venir en aide à cette famille à travers des dons de nourriture et de matériel et en lui proposant différentes formes d’aide pour la sortir de la misère.

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