MTPA: Le carnaval mauricien remporte le défi

Invitée au Carnaval de Flic-en-Flac le dimanche 1er juillet, la presse seychelloise, dont Seychelles Weekly, a accordé une note positive à ce rassemblement, une première à Maurice, notamment dans un article intitulé « Mauritius takes the challenge to another level ». Pour les Seychelles, une habituée de ce genre de manifestation, le pays a réussi le défi d’établir sa propre « brand » du carnaval mauricien.
Du 29 juin au 2 juillet, des membres de la presse seychelloise étaient invités à venir découvrir les facettes du Carnaval de Flic-en-Flac, événement organisé pour la première fois à Maurice. Dans un article publié le 6 juillet, Seychelles Weekly fait état de cet événement. « We were not disappointed with what we saw ; it is clear that the Seychelles Tourism Board will have to up its game next year if they want to give M. Desvaux and his team a good run for their money », peut-on lire.
De plus, l’article en question parle des différences dans les infrastructures de Maurice et celles des Seychelles, affirmant que nous avons de meilleures dispositions. Le journal salue la démarche du pays d’avoir organisé la Shopping Fiesta et le Carnaval à un moment où les touristes veulent voyager. « The shopping fiesta and the Carnaval will be organised in June/July when most european countries are on summer holidays… excellent timing on their part. This will give them the edge over Seychelles. These guys are thinking when we plan to win only elections », écrit le journal. Par ailleurs, cet article souligne les stratégies employées par Maurice pour vendre son produit. « They have successfully branded the dodo, a bird their forefathers ate into extinction. We have failed to do the same with the Coco de Mer which is still in existence in abundance », fait ressortir l’article. En effet, cet article paru dans Seychelles Weekly parle de la manière dont Maurice a transformé ses faiblesses en atouts alors que « personal agendas are the toxin that is killing economic progress in Seychelles ». « We have a lot to learn from our so called dalon », conclut-il.

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