NATATION — FACE À LA CRISE PERSISTANTE AU SEIN DE LA FMN: Les onze clubs cherchent une rencontre avec le MJS et le COM

La situation de crise persistante au sein de la Fédération mauricienne de Natation, qui n’existe plus dans tous les termes légaux possibles commence a pesé lourd dans la balance. Alors que Doreen Tiborcz, la présidente du comité illégal, se vante de sa nomination pour service rendu au sein de la commission Masters de la FINA, les nageurs continuent à subir les conséquences irréversibles d’une crise à la direction de la FMN qui dure cette fois depuis plus d’une année.
Selon les informations dont nous disposons,  onze, des quinze clubs, à savoir BBASA, BUPAD, CAMO, CASA, CDS, CNQB, CNSP, CNSPL, CSSC, PDSC et PLASA qui sont membres de la FMN, se sont regroupés pour tenter de sortir de la crise. Selon un membre de cette instance, il est «impératif de trouver une solution.» «Une année que cette situation dure et Doreen Tiborcz ne semble pas vouloir bouger de son piédestal et cherche à se cacher maintenant dans une Tour d’ivoire sans se soucier du mal que son attitude fait aux nageurs. Nous avons écrit au ministère pour demander la mise en place d’un caretaker committee, mais la FINA a dit non mais demande que de nouvelles élections soient organisées au plus tard le 28 février 2013. Mais selon ce que nous voyons dans la presse, Doreen Tiborcz dit qu’elle bougera en février 2013 alors que rien ne l’empêche d’appliquer une décision de la FINA. Dans ces conditions ,nous n’avons pas d’autre choix que de demander au MJS et le Comité Olympique Mauricien de nous aider pour sauver cette discipline», a expliqué un membre de ce comité.
Ce dernier souligne que durant les jours à venir un courrier sera envoyé à ces deux instances pour demander une réunion commune pour prendre une décision pour le bien de la natation. «Cette situation ne peut pas durer, nous avons des compétitions importantes en vue et le choix de nageurs ne peut plus se faire au bon gré de Doreen Tiborcz. Ce n’est pas de cette façon qu’on pourra avancer et le ministère, de son côté, doit pouvoir aider en mettant à notre disposition les piscines pour organiser ne serait-ce que quelques compétitions jusqu’à qu’une solution durable soit trouvée», souhaite ce président de club.

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