SECTEUR ÉCONOMIQUE – SELON MAHEN SEERUTTUN : Collaboration Open University, FSI et FSC en « Capacity Building »

Mahen Seeruttun, ministre des Services financiers et de la Bonne gouvernance, a procédé mardi après-midi au lancement du calendrier d’activités du Financial Services Institute (FSI). Il en a profité pour mettre l’accent sur l’importance du développement des compétences dans le domaine des services financiers, et ce d’autant plus que « ce secteur est crucial et appelé à devenir le principal moteur de croissance de notre économie », a souligné le ministre, se disant conscient de la pression grandissante sur les services financiers non seulement pour assurer la croissance économique, mais également pour générer des emplois. « This very moment, the potential and the responsibility that the sector carries, is beyond our imagination.  This sector is not only a vital source of national economic growth but also of job creation. »

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Revenant sur la décision du gouvernement d’introduire l’éducation tertiaire gratuite, le ministre a dit que cette décision traduit les efforts consentis pour apporter davantage de prospérité à la nation. D’ailleurs, la création du FSI en 2018 s’inscrit dans ce contexte visant à rendre la nation plus prospère. « Nous avons créé le FSI non seulement pour augmenter les compétences de notre main-d’œuvre, mais aussi pour améliorer l’employabilité des jeunes et leur “job-readmises” », a souligné Mahen Seeruttun.

Par ailleurs, le ministre a soutenu que le secteur a besoin de compétences, non seulement pour survivre dans l’environnement compétitif actuel, mais aussi pour se développer et prospérer. Il a insisté sur le fait que « victory lies in the ability of our people to instil trust and confidence in our jurisdiction with a clever blend of competitive and innovative products along with world class service delivery ». D’où l’importance de la main-d’œuvre, dont la formation est un élément clé, a poursuivi le ministre. « Capacity building of such a diverse sector against a challenging international backdrop, is a tall order. »
Mahen Seeruttun a évoqué la collaboration entre le FSI et la Financial Services Commission et l’Open University. « A collaboration between Open University and the FSI is nearing finalisation for the offering of joint award programmes », a-t-il indiqué. « The programmes will be very special in the sense they will be geared towards churning theoretical concepts into real-life business practices through effective knowledge transfer. »
Pour sa part, Raj Makoond, Chairman du FSI, s’est réjoui des avancées de l’institut ces 18 derniers mois. « Nous avons bien progressé. Nous avons collaboré avec les régulateurs et les associations du secteur et autres organismes de formation pour “synergiser” notre action. Il est important de nous assurer que les “course-offerings” soient “demand-driven”. » Pour Raj Makoond, les services financiers sont « an engine for job creation ».
Depuis sa création, en 2018, le FSI a “upskilled” 2 500 professionnels et “guidé” 950 diplômés et détenteurs de HSC. L’institut offre des cours dans divers domaines des services financiers (“compliance”, “risk management”, “assurance”, “trust”, “private wealth”, fiscalité et “disruptive technologies”, entre autres). Par ailleurs, l’institut est déjà sollicité pour offrir des cours de formation en Afrique.

 

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