SOCIÉTÉ: 1982, le rêve brisé d’une Police Service Union

L’avènement au pouvoir, en 1982, de l’alliance politique MMM-PSM par 60 sièges à 0, avait suscité beaucoup d’espoir de changement non seulement au sein de la population, mais aussi auprès de la masse des policiers sans grades (les constables). Leur espoir à eux était que les nouveaux dirigeants du pays d’alors allaient, enfin, leur permettre de se syndiquer – sans droit de grève – conforme à un combat qu’avait déclenché en leur faveur, 34 ans plus tôt, Guy Rozemont, le bouillant tribun travailliste.

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