VTT : Lincoln et Halbwachs accueillis en héros

Les deux vététistes Yannick Lincoln et Aurélie Halbwachs, vainqueurs de la catégorie mixte du Cape Epic en Afrique du Sud, ont été accueillis en héros vendredi au Centre Syngery, aux Allées d’Helvétia. L’occasion pour leurs collègues de les féliciter pour leur exploit accompli en terre sud-africaine.
Auteurs d’un chrono total de 37h07’20, les deux Mauriciens remportent la palme devant Trek Israël avec une avance de 1h56’16. Cet exploit, suivi par leurs collègues du centre Synergy et d’ENL en général, méritait donc d’être salué. « Le Cape Epic est réputé pour être la course la plus dure au monde. Aurélie et Yannick ont porté avec fierté les couleurs de FAIL et de Synergy pendant la course », a souligné Gilbert Espitalier-Noël, CEO de ENL Property.
Pendant la semaine, tous les employés ont suivi les péripéties de la Team Synergy. « C’est une performance plus que remarquable », a renchéri Gilbert Espitalier-Noël. Et comme une bonne nouvelle ne vient jamais seule, le CEO d’ENL Property a annoncé que le groupe sera encore une fois partenaire des deux vététistes lorsqu’ils iront aux championnats du monde de VTT marathon, en juin prochain, à Pietermaritzburg en Afrique du Sud. « Cette fois, ils devront concourir dans des catégories séparées. »
De leur côté, Aurélie Halbwachs et Yannick Lincoln ont tenu à remercier leurs sponsors, Synergy, ENL et FAIL, ainsi que leurs collègues. « C’était une course difficile sur les plans physique, émotionnel et mental. Mais sans l’aide et le soutien que tous les gens nous ont apportés, je ne pense pas que nous aurions pu arriver à un résultat pareil », a estimé Aurélie Halbwachs, qui a par la même occasion complété son premier Cape Epic.
Yannick Lincoln, pour sa part, a tenu à faire ressortir les difficultés rencontrées lors de la préparation. « Nous ne sommes pas des professionnels. Nous étions en route pour affronter des personnes dont le métier est de faire du vélo. C’est une performance vraiment inattendue ».
Mais l’histoire ne s’arrête pas là. « Le nombre d’heures qu’on a passées sur le vélo est colossal. Parfois, nous avons eu envie d’arrêter. Mais on s’est dit qu’on devait continuer. Et le résultat est là. Merci à ENL pour son soutien », a conclu Yannick Lincoln.

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