ZEE MEGA CHALLENGE: Les demi-finales ce week-end au centre culturel Indira Gandhi

Après les auditions qui se sont déroulées dans différents endroits de l’île, les membres du jury du Zee Mega Challenge seront sur la brèche ce week-end au centre culturel Indira Gandhi, à Phoenix pour désigner les douze finalistes qui prendront part au grand rendez-vous prévu, samedi 22 octobre, au J&J Auditorium à Phoenix.
Six finalistes seront choisis dans la catégorie « Danse » et six autres dans la catégorie « Chant » le samedi 15 et le dimanche 16 octobre au IGCIC à Phoenix. Le nom du gagnant dans chaque catégorie sera révélé le 5 novembre lors d’une Zee Nite au J&J Auditorium. Les deux gagnants s’envoleront pour l’Inde afin de prendre part à la présélection des émissions de télé-réalité indiennes Sa Re Ga Me Pa et Dance India Dance. Ils seront 60 dans la catégorie « Chant » et 84 dans la catégorie « Danse » à participer aux demi-finales.
Les dernières auditions se sont déroulées le week-end dernier au collège N. Saddul à Vacoas. Le nombre d’inscriptions dans la catégorie « Chant » se chiffrait à 64. Parmi, 15 participants ont été choisis pour les demi-finales. Dans la catégorie « Danse », 20 candidats ont été sélectionnés sur un total de 104.
Les participants se sont déplacés en grand nombre, certains accompagnés de leurs parents, pour les auditions à l’étage de l’auditorium. Plusieurs sont venus tenter leur chance à l’instar de Sueha Ramchurn de Solférino et Kavita habitant Le Morne.
Après huit heures de délibérations, le jury composé de Sandeep Bhimjee, Eric Triton et Stephen Bongarçon, ont choisi les candidats devant participer aux demi-finales dans la catégorie « Dance ». Compte tenu du niveau très bas de certains participants qui n’ont fait qu’esquisser quelques pas de danse, Sandeep Bhimjee leur a adressé quelques remarques sarcastiques en leur lançant qu’il ne suffit pas d’avoir dansé dans les fancy fairs et les mariages pour participer à un concours de la portée de Dance India Dance. Selon lui, les danseurs ont du potentiel mais il leur manque l’originalité. « Ils ont tendance à copier Bollywood et doivent travailler très dur pour rivaliser avec les autres participants de Dance India Dance », soutient-il.
Stephen Bongarçon considère, pour sa part, qu’un apprentissage dans une école de danse leur sera d’une grande utilité pour peaufiner leur style. Les deux frères Mathieu et Samuel Joseph de Cité Mangalkhan nous ont impressionnés dans une danse contemporaine. Shalonee Gunness, l’une des responsables de Zee Multimedia (Maurice), s’est réjouie du vif intérêt démontré par les Mauriciens pour le concours.

- Publicité -
EN CONTINU

l'édition du jour

- Publicité -