L’élection partielle dans la circonscription Belle-Rose/Quatre-Bornes avait pour but d’élire un nouveau membre du parlement en remplacement de Roshi Bhadain après sa démission et,...
Le temps de ce week-end de Noël et la dernière semaine de 2017 qui suivra et, aux oubliettes les tracasseries quotidiennes… Mais pouvons-nous véritablement...
La focalisation sur l’élection législative partielle de Belle-Rose/ Quatre-Bornes aura passablement détourné l’attention sur l’intéressant verdict du Tribunal de l’égalité des chances (EOT), rendu...
As 2017 draws to an end, festivities have started to welcome the New Year. For many, it is a time for reflection, the pessimists perhaps have little to celebrate, while the critics have a lot to say. The papers are full of anecdotes and personal failures. The past was eventful, both nationally and internationally.
Savez-vous ce qui est fascinant dans les élections mauriciennes ? C’est, quels que soient
les résultats, il n’y a jamais de perdant pour les partis politiques qui n’ont pas pu faire élire leur candidat. C’est la conclusion à laquelle on peut facilement arriver quand on écoute les réactions des porte-parole autorisés depuis la proclamation des résultats de la partielle du No 18.
Avant de revenir sur les enseignements de la partielle de Belle Rose/ Quatre-Bornes, un mot s’impose sur la campagne. Elle fut particulièrement belle et on ne peut que souhaiter que les joutes à venir se déroulent dans le même esprit.
Élu avec une avance très confortable à la partielle dans la circonscription No 18, Arvin Boolell se présente comme une « passerelle » entre les membres expérimentés du PTr et la jeunesse.
