N° 19 Tournée des « bases » PTr/MMM : Bérenger réaffirme son optimisme quant à l’issue du scrutin

Comme il le fait à chaque veille d’élections générales, Paul Bérenger, leader du MMM, a consacré sa soirée d’hier à une tournée de la trentaine de « bases » à partir desquelles opèrent les militants et activistes PTr/MMM de sa circonscription de Stanley/Rose-Hill. Il devait, à cette occasion, leur réaffirmer son optimisme quant à l’issue finale du scrutin de ce mercredi tant au N° 19 qu’au plan national.
C’est au centre-ville de Rose-Hill, au point de chute situé juste à côté de l’école Notre Dame des Victoires RCA, que devait démarrer, en début de soirée hier, la tournée des « bases » PTr/MMM du leader des mauves et de ses deux colistiers, Stéphanie Anquetil et Deven Nagalingum.
Il était prévu que cette ultime tournée des trois candidats de l’alliance de l’Unité et de la Modernité au N° 19 auprès de leurs militants et activistes allait s’achever tard dans la soirée du côté de Stanley.
Paul Bérenger et ses deux colistiers étaient accompagnés à cette occasion de Jayen Cuttaree, ancien député MMM de la circonscription et candidat à la vice-présidence d’une éventuelle IIe République. L’on aura aussi noté la présence aux côtés de son père, hier soir, de Jouanna Bérenger, fille cadette du leader du MMM.
Partout où il s’est arrêté pour rencontrer les militants et activistes du PTr/MMM, le leader des mauves n’a pas manqué de les remercier pour tout l’effort déployé sur le terrain jusqu’ici en leur rappelant, quand même, qu’il leur fallait maintenir le tempo tout au long de ce mercredi, jour du scrutin.
Paul Bérenger a une fois de plus réaffirmé auprès de ses militants son optimisme tant en ce qui concerne l’issue finale de ces élections à Stanley/Rose-Hill qu’au plan national.
Ainsi, même si pour lui ce ne serait pas « la fin du monde » si deux ou trois candidats du camp adverse arrivaient à se faire élire, le leader du MMM a réaffirmé qu’il ne voyait même pas sir Anerood Jugnauth se faire élire à Piton/Rivière-du-Rempart.
Mais, devait-il quand même rappeler, « eleksion se eleksion ». D’où son appel aux militants et activistes de base du PTr/MMM de tout faire pour que le maximum d’électrices et d’électeurs votent en faveur des trois candidats rouges/mauves et qu’il n’y ait pas de vote de sympathie en faveur de l’adversaire.

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