KUALA LUMPUR: Le meurtre de Digpaul en passe d’être élucidé

Un peu plus de deux semaines après l’agression mortelle du Mauricien Sharma Digpaul, 39 ans, dans les rues de Kuala Lumpur, les enquêteurs de la police sont sur le point d’élucider cette affaire. En effet, deux main suspects ont été arrêtés et sept autres individus sont en garde à vue pour le meurtre de l’homme d’affaires survenue dans la nuit du 3 au 4 octobre. Dans le courant de la semaine écoulée, trois autres prime suspects étaient activement recherchés.
Selon les informations rapportées par le journal en ligne The Sundaily, les deux principaux suspects dans cette affaire sont une femme et un homme âgé de 35 ans. Ce dernier est soupçonnée d’être un membre actif d’une société secrète compte tenu de la découverte compromettante effectuée à son domicile lors d’une descente policière. En effet, les responsables de cette enquête ont saisi 22 machettes et épées, des “survival knives”, des matraques en acier et une importante quantité de tabac emballé, soupçonnés d’être utilisés dans des “gangland activities”.
Les avancées de l’enquête policière indiquent que ce duo s’est emparé de la carte magnétique de la chambre d’hôtel de Sharma Digpaul alors que ce dernier agonisait sur l’asphalte après avoir essuyé huit coups de couteaux au dos. De l’argent en liquide, un ordinateur portable, un appareil photo et des objets de valeur avaient été emportés de la chambre d’hôtel où la victime séjournait pendant son escale à Kuala Lumpur.
D’autre part, en vue de retrouver les trois autres suspects en cavale dans les meilleurs délais, la police de Kuala Lumpur avait communiqué en début de semaine leurs identités et adresses à la presse étrangère. Ceux détenant des informations précises concernant les whereabouts des suspects avaient été exhortés d’alerter immédiatement la police. L’enquête se poursuit.
La victime, Immigration Specialist de profession et propriétaire d’autobus individuels à Maurice, était en escale à Kuala Lumpur avec un ami quand le drame s’est produit. Ils devaient par la suite regagner le pays.

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