SELON ANNE-BRESILIENNE COCO : «Si li ti gagne traitement kuma enn dimoune bizin gagné, mo Aldault ti pu enkor vivant»

«Ma, amen moi lopital», ce sont les derniers mots qu’a prononcés Jean Aldault Salmine, 26 ans, à sa mère Anne-Brésilienne Coco, 50 ans, dans la Cour du tribunal de Souillac. Elle ne pouvait se douter que ce lundi 13 janvier serait la dernière fois qu’il verrait son cadet vivant. Le malheur s’abattra pourtant sur  famille modeste de la Cité EDC à Riambel une semaine plus tard. Mais face aux graves blessures et hématomes que le défunt portait sur tout le corps, la famille ne peut digérer la cause du décès attribuée par le médecin légiste, le Dr Monvoisin. Pour les proches, comme pour le Dr Gujjalu, dont les services ont été retenus par la famille Salmine, il se pourrait qu’il y ait eu négligence du service hospitalier et pénitencier. Ils sont catégoriques: on ne peut mourir d’une septicémie si des traitements adaptés avaient été prodigués.

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