Du sable dans les yeux

Si j’ai bien compris, seulement 40 kilomètres de plage sont accessibles au public. C’est plutôt pas mal, me direz-vous. Mais c’est une portion congrue sur les 300 km de littoral. On est en droit de se demander où sont passés les 260 autres kilomètres. Pas la peine de se hisser sur un cocotier pour voir se profiler un élément de réponse à l’horizon. Ce serait nos puissants amis des groupes hôteliers qui se seraient taillé la part du lion.

- Publicité -
EN CONTINU

l'édition du jour

- Publicité -