« C’est un triste jour pour le pays », a lancé ce matin le leader de l’opposition, Arvin Boolell, après que les parlementaires travaillistes et les journalistes se sont heurtés à une interdiction d’entrer dans l’enceinte de l’hôtel du gouvernement pour assister à une conférence de presse consacrée au naufrage du MV Wakashio au large de Pointe-D’Esny. « En tant que leader de l’opposition, j’ai le droit de parler à la presse, et personne, ni le Speaker, ni le Premier ministre, n’a le droit de m’en empêcher », a-t-il dit.
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Lisez la suite dans l’édition du Mauricien du jeudi 13 août 2020.