À Cassis : Marie Thérèse Cateau souffle ses 100 bougies

Marie Thérèse Cateau, née le 4 décembre 1922, a fêté, lundi, ses 100 ans, à la salle Jean Lebrun, à Cassis. Une fête a été organisée par le ministère de l’Intégration sociale, de la Sécurité sociale et de la Solidarité nationale pour rendre hommage à la nouvelle centenaire.

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La centenaire a reçu, des autorités, un chèque d’un montant de Rs 26 203,  une médaille de centenaire,  une attestation,  un robot culinaire, un don du Conseil des personnes âgées  et un chèque à hauteur de Rs 10 000 du National Solidarity Fund.

La Parliamentary Private Secretary (PPS), Marie Christiane Dorine Chukowry, le Lord-maire Mahfooz Moussa Cadersaib, ainsi que des membres de la famille et des amis étaient présents pour célébrer la centenaire.

Madame Cateau est née à Pamplemousses. Son père, Jean François Florimond, était conservateur de forêt et sa mère, Martine Emmeline, femme au foyer. Elle avait cinq beaux-frères et sœurs paternels; tous sont décédés.

La centenaire, qui a étudié jusqu’à la Standard Four à Pamplemousses Government School, avait huit ans lorsque son père est décédé et elle a été élevée par sa tante paternelle. Actuellement, elle vit dans une maison louée en compagnie de son petit-fils de 16 ans. On lui rend visite régulièrement et son voisinage lui est d’une précieuse aide.

Cette dame vivait en union libre avec J.J.Richard, qui était chauffeur. Deux enfants sont nés, à savoir un fils et une fille. Tous deux sont décédés. Elle a un enfant légalement adopté, à savoir Wesley Cateau. Elle s’est séparée de son partenaire il y a longtemps et a dû travailler comme femme de ménage pour joindre les deux bouts.

La centenaire a neuf petits-enfants et quatre arrière-petits-enfants. Comme passe-temps, elle regarde la télévision. Son plat préféré est « du riz, poisson salé » et « sauce blanche chouchou ». Et elle cuisine tous les jours.

La centenaire n’a pas de problèmes de santé majeurs; elle n’est que légèrement malentendante.

Comme de nombreux autres centenaires à Maurice, Madame Cateau attribue le secret de sa longévité à sa croyance en Dieu.

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