Ça va se savoir : Ça dépasse les bornes

Les étals anarchiques et les pollueurs patentés plus puissants que les autorités : le constat est sans appel ! À la rue Farquhar, bastion de l’étalage anarchique dans la capitale, avoir « un compas dans l’œil » demeure un atout non négligeable pour circuler en voiture. Pire, au mépris de l’environnement, certains marchands jettent leurs boîtes vides et autres marchandises dans les recoins de la rue, lui donnant l’aspect d’un dépotoir. On doit parfois zigzager entre les détritus dans cette zone bondée.

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En passant des trottoirs à la chaussée jonchée de sacs plastiques en tous genres, vous risquez de glisser et de tomber !  Loin de nous l’idée de jeter en pâture ceux et celles qui arpentent les rues pour subvenir aux besoins de leurs familles, mais certains marchands ambulants dénués de bon sens et de civisme dépassent les bornes et n’en ont cure de l’image catastrophique que ce triste spectacle renvoie aux touristes, ainsi qu’aux citoyens mauriciens. Ce système éhonté de deux poids, deux mesures continue de prospérer…

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