(COVID-19) Consent Form : Un enseignant refuse sa 2e dose de Sinopharm

Pravesh Moneea, enseignant au collège BPS Fatima, à Goodlands, a écrit au ministre de la Santé, Kailesh Jagutpal, pour réclamer le retrait de son consentement pour la vaccination anti-Covid-19. Il explique sa motivation du fait que de nombreux cas d’effets secondaires ont été enregistrés dans le pays après la deuxième dose.

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Se basant sur les statistiques fournies par le National Communication Committee sur le Covid-19, il avance que le vaccin ne protège pas du virus. Donc, il ne voit pas l’utilité de faire sa deuxième dose. « J’ai pensé à mes parents et je me suis demandé ce qu’ils allaient devenir si je devais mourir suite à l’injection ou me retrouver handicapé. »

C’est en ces termes que Pravesh Moneea, 40 ans, explique sa démarche. Il affirme avoir été contraint de se faire vacciner suite à la décision des autorités de rendre le vaccin obligatoire pour le personnel enseignant. Pour cela, il a signé le Consent Form du ministère de la Santé. Il devait faire sa deuxième dose le 17 juillet, mais a changé d’avis depuis.

« Malgré ma bonne volonté pour aller me faire vacciner, je suis très inquiet pour la deuxième dose quand je vois toutes les issues fatales liées à la vaccination anti-Covid », dit-il. Il cite l’exemple d’une de ses collègues, qui aurait eu une rupture d’anévrisme après avoir reçu sa deuxième dose de vaccin. Il fait également référence à de nombreux cas cités sur les réseaux sociaux et dans les médias. D’où sa décision de réclamer le retrait de son Consent Form. Il a soutenu sa demande en précisant que cette pratique existe à l’étranger.

De plus, ajoute Pravesh Moneea, la vaccination ne semble pas protéger d’une contamination au Covid-19, si l’on se base sur les chiffres donnés par les autorités elles-mêmes. « Lors de la conférence de presse du NCC du 23 juillet dernier, le ministre de la Santé a reconnu que 52% des personnes contaminées étaient vaccinées. Les dortoirs de travailleurs étrangers, pourtant vaccinés, sont sous cordon sanitaire. De plus, l’actualité montre une recrudescence d’accidents post-vaccinations chez des personnes ayant fait leur deuxième dose à Maurice. Ce qui laisse planer de sérieux doutes sur la protection et la sécurité qu’offrirait le vaccin. »

L’enseignant évoque également le nombre grandissant de cas positifs en milieu scolaire. « On ne peut pas dire que ce sont les enseignants non-vaccinés qui ont infecté les autres, car ils doivent présenter un test PCR négatif chaque semaine. »

 

 

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